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James D. Hawthorne
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James D. Hawthorne

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Message(#) Sujet: Welcome to me life? No, welcome to your life if you want... Welcome to me life? No, welcome to your life if you want... EmptySam 19 Jan - 21:20

Jamie était assis derrière son bureau. Il était dans les paperasses par-dessus la tête. Les ventes allaient bien, les réparations et « re-looking » aussi. Il ne pouvait demander mieux. Le travail ne manquait pas, les employés étaient bien payés et le commerce faisait du profit. De plus, la sécurité de son commerce était faite par les hommes de son oncle. Il payait sa «cote » tous les mois pour ça. Certains ne comprenaient pas pourquoi il payait, après tout il s’agissait de son oncle. Il secouait la tête et leur expliquait il ne voulait rien lui devoir, qu’avoir une dette envers un parrain de la mafia était toujours une mauvaise idée. Si quelques uns comprenaient, d’autres se disaient qu’il était fou de payer alors qu’il faisait partit de la famille du parrain. Ils ne comprenaient que pour un homme comme Anthonio Di Valastro, il n’y avait pas de famille en affaire. En fait, il adhérait tout de même à cette façon de pensée. Peut-être de façon moins drastique, mais si son cousin, ou quelqu’un de la famille venait acheter un véhicule, il lui ferait peut-être un prix, mais ne lui donnerait pas la voiture. Même chose pour les réparations ou les changements de look des voitures, vous avez beau être de la famille, vous payerez quand même. Après tout c’était son gagne pain, sa façon de gagner sa vie. La seule chose qu’il détestait dans ce travail était la paperasse. Il détestait ça, mais il le faisait. La comptabilité était amusante, mais remplir les commandes, faire l’inventaire de la marchandise et remplir les contrats, il détestait ça. Mais bon, il fallait bien le faire. Disons que cette activité faisait contraste avec ce qu’il avait fait la veille.

Il s’était rendu chez un homme, il l’avait attendu pendant deux heures planqué. Personne ne l’avait vu arrivé, personne ne l’avait partir. De là où il était, il était non repérable. Il ne faisait rien à moitié, il était d’une minutie sans égard. Il était le fantôme, personne ne devait savoir d’où il venait, qui il était et encore moins qui donnait les ordres. En fait, à ce moment-ci, il avait fait tout ce qu’il avait à faire. Il devait attendre que son plan soit infaillible, confirmer que la commande était réalisé. Ce qu’il fit. Il attendit, puis, il vérifia à l’aide de jumelle. L’homme se dirigea dans la salle de bain, déjà le plan était en place. C’était ridicule comme plan, mais tellement facile. La victime par réflexe, prit le flacon de pilule rouge, il ne vérifia même pas l’étiquette avant d’avaler le contenu. Il mit quelques minutes avant de sentir l’effet, l’homme s’effondra dans sa douche. Quel bête accident n’est-ce pas? L’homme se trompant de flacon et avalant les somnifères au nom de sa femme au lieu de ses pilules pour le cholestérol qui était sensiblement de la même couleur. Il n’avait pas remarqué la différence, il avait gobé et était allé prendre sa douche. De plus, ce dernier était légèrement allergique au produit et il n'avait pas une bonne réaction avec les pilules qu'il prenait pour ses problèmes cardiaque. James avait suivit ses habitudes et c’était ce qui avait tué l’homme. Sa femme était sortie et lui serait noyé dans quelques instants. James attendit patiemment, il ne quitterait les lieux que lorsqu’il serait sur à cent pourcent que l’homme avait rendu son dernier souffle. Il avait tout son temps, la femme ne serait pas là avant un bon trois heures, il avait vérifié les horaires et avait aussi fait en sorte qu’elle soit retardé si jamais il lui prenait l’envie de rentrer plutôt.

Lorsqu’il eut vérifié et constater que tout était bien terminé, il retourna chez lui. Mangea, lu un livre, se doucha et alla se coucher. Plus jamais ce mac véreux ne ferait de mal aux filles de son oncle et ne pigerait dans les poches de celle-ci pour remplir les siennes à l’insu de l’organisation. C’était une épine de moins dans le pied de son oncle. Aucune trace laissée, un bête accident que personne ne pourrait tourner en meurtre. L’homme avait même lui-même laissé des traces de son erreur. Et oui, il avait laissé le flacon ouvert sur le bord du lavabo. Il en avait prit trois d’un coup. Le temps de se préparer à la douche et de se rendre sous l’eau, les somnifères avaient fait leur effet et voilà… Le tour était joué. Ni vu, ni connu. James savait tuer avec une arme, mais il savait aussi tué de façon plus stratégique. De plus, tué de cette façon faisait en sorte qu’on ne soupçonnait pas le parrain ou la mafia d’être dans le coup. Il ne se prenait pas pour Dieu, c’était ça le truc dans ce métier. Si tu te prenais pour Dieu, tu te pensais introuvable. Non, il fallait agir avec sa tête, pas avec son orgueil de « je ne me ferai pas prendre ». C’était ce qui caractérisait son travail, enfin, son deuxième travail. La tête, il fallait penser aux moindres détails, ne rien oublier. C’était primordial pour ne pas se faire prendre et ne pas se faire connaître des autorités. Il faisait ça depuis plus de dix ans maintenant et personne ne savait ce qu’il faisait pour son oncle. En fait, personne ne savait qu’il avait un lien si proche avec ce dernier, ils croyaient tous qu’il était indifférent au parrain et qu’il n’était qu’un simple parent.

Il eut un petit sourire en ressassant le casse-tête qu’il donnait aux flics. Il aimait sa vie honnête, il ne voulait pas la perdre. Il était loyal à Anthonio Di Valastro, il était son sang et c’était en grande partie pour cette raison qu’il jouait les faucheuses pour lui. Jamie n’avait pas eu l’intention d’être un meurtrier dans sa vie, il ne le faisait pas par simple plaisir, il le faisait parce que ceux qu’il tuait le méritait. Si on suivait sa logique, son oncle aussi méritait la mort. Mais on ne mordait pas la main qui nous nourrissait non? Bon, c’était un euphémisme en fait, il n’avait pas besoin d’argent, son entreprise lui permettait amplement de payer sa belle maison et son rythme de vie qui était, somme toute, simple. De toute façon, l’argent de son oncle, il n’y touchait pas. Il était rediriger ailleurs, encore là, il avait joué d’astuce question qu’on ne puisse remontrer jusqu’à lui avec cet argent, ni jusqu’à son oncle. Que de l’argent liquide, qu’il mettait dans un ou des comptes et jamais le montant exact donné, toujours plus ou moins. Il brouillait les pistes au maximum. Il gardait aussi certains montants dans son coffre fort, mais rien d’exorbitant. Juste un en cas. Il se concentra à nouveau dans ses papiers, c’était laborieux, mais il fallait le faire. Il venait de terminer les commandes lorsqu’il leva la tête et vit apparaître une belle jeune femme aux longs cheveux. Il adorait ses mèches rouges sur fond noir qu’elle avait. Cette couleur contrastait bien avec son teint et ses yeux. De toute façon, il adorait tout de cette jeune femme. Même sa voiture était superbe. Une voiture de marque camaro argent 2LT avec un moteur V6 polycarburant, une transmission manuelle à 6 vitesses et le comble une chaîne audio haut de gamme à neuf hautparleurs. On pouvait dire qu’elle n’était pas à pieds la jolie dame.

Il se leva de son bureau et se rendit à l’avant du commerce à la rencontre de la charmante pâtissière. Il ne pouvait nier qu’elle était belle, mais ce n’était pas tout ce qui l’intéressait chez elle. Elle était une femme intelligente qui savait où placer ses pions. Elle payait son oncle pour sa protection car elle avait comprit que seul lui pouvait arrêter le grabuge qui foisonnait dans le quartier où elle avait donné naissance à son commerce. Elle avait un fils merveilleux, brillant et mature malgré son jeune âge. Il admirait le courage que la jeune femme avait eu de l’élever sans le père du petit et de réussir à fonder ses rêves. Elle était partie de rien et maintenant elle vivait bien, son fils allait dans une école privée et elle avait les moyens de se payer une belle voiture comme celle qu’elle venait de lui apporter. Il espérait d’ailleurs que cette dernière n’avait pas de problème, la voiture était tout de même neuve alors pourquoi avait-elle besoin de l’amener ici? Peut-être avait-elle envie de lui ajouter des détails, ou des écritures pour faire de la publicité pour son commerce. Il ne savait pas pour le moment, mais il allait bientôt le savoir.

-Bonjour Kayla, quel bon vent t’amène ici? Pas d’ennuie avec la camaro j’espère?
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Kayla M. Rydell
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Kayla M. Rydell

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Message(#) Sujet: Re: Welcome to me life? No, welcome to your life if you want... Welcome to me life? No, welcome to your life if you want... EmptyLun 21 Jan - 1:09

Sa journée avait très mal commencée. Le réveille-matin qui ne sonne pas parce que Kayla avait stupidement oublié de le régler à la bonne heure, Jeremy qui était bougon et n’avait envie de rien, pas même d’aller à l’école… et maintenant, c’était sa voiture qui faisait des siennes. Son bolide neuf par-dessus le marché. Si ç’avait été son vieux coucou, Kay se serait contentée de hausser les épaules en se disant qu’elle faisait des siennes encore une fois, mais là, c’était son bolide pour lequel elle avait tant économisé afin de pouvoir se gâter. Bref, ce jour-là, ce n’était pas sa journée. Elle avait dû se battre avec son fils afin qu’il ne soit pas en retard à l’école, et c’était sur le chemin du boulot que sa voiture avait commencé à faire du bruit. Découragée de voir que tout n’allait pas comme sur des roulettes, Kay avait donc poursuivit sa route jusqu’au café. Il fallait bien qu’elle ouvre et aide ses employés à faire les préparations. Après quoi, elle avait du boulot sur les bras. Il lui faudrait faire la comptabilité, préparer ses commandes, faire les bulletins de salaire de ses employés… Et une fois sa journée de travail terminée, ça ne voulait pas dire pour autant que Kayla pouvait se la couler douce. En effet, elle devait aller prendre son fils à l’école, le conduire à son entraînement de natation. Après quoi, il faudrait rentrer à la maison, préparer le diner, faire les devoirs – encore heureux que son fils soit bon à l’école – le bain, le dodo… et là, on ne parlait pas des tâches ménagères qui incombaient à la jeune maman avant de s’écrouler sur son lit pour la nuit. Certes, elle aurait pu se payer le luxe d’avoir une femme de ménage, mais franchement, Kayla n’était pas très à l’aise à l’idée de laisser quelqu’un farfouiller dans ses affaires.

Aussi ce jour-là, Kay vit cette opportunité de quitter son café un moment pour aller au rendez-vous que lui avait fixé le garage comme une occasion de relaxer un peu. Et en plus, c’était après le déjeuner, elle pourrait donc aller casser la croûte au restaurant, manger ce que quelqu’un d’autre qu’elle aurait préparé. Et avec un peu de chance, le problème de sa voiture serait réglé en un rien de temps. Et si la chance était toujours de son côté, elle pourrait repartir avec son véhicule. Et si elle était vraiment, mais vraiment dans une journée chanceuse, elle ne verrait pas le propriétaire dudit garage. Kayla faisait réparer sa voiture là-bas, car son père et sa mère avait toujours fait affaire avec eux… c’était donc une tradition familiale et elle n’avait pas envie de devoir se trouver un autre endroit. Elle n’y connaissait strictement rien en mécanique et savait qu’à ce garage les employés étaient honnêtes. On ne tenterait pas de lui faire acheter un nouveau truc à essence plutôt que des freins neufs. Bref, tout ce que Kayla espérait, c’était de ne pas voir le propriétaire. Oh, il était certes fort charmant – peut-être même un peu trop aux yeux de la jeune femme – mais elle n’avait pas vraiment envie de devoir refuser une énième fois sa proposition de sortir avec lui.

Parce que oui, elle refusait systématiquement ses offres. Ce n’était pas pour se faire désirer ou quelque subterfuge de ce type dont peuvent user les femmes pour arriver à leurs fins. Non, si Kayla refusait toujours, c’était uniquement par choix. La jeune femme n’ignorait rien des liens familiaux qui liaient James à la famille Di Valastro. Si le fait de le savoir lié avec la mafia ce n’était pas assez pour la détourner de cet homme obstiné, il y avait aussi le fait que la dame s’était jurée voilà fort longtemps que plus jamais un homme ne lui briserait le cœur. Pas plus qu’elle ne laisserait un homme entrer dans sa vie et que son fils s’attache à lui pour voir son cœur se briser. Lui qui n’avait jamais eu de père, s’il fallait qu’il s’en trouve un de substitution et que ce dernier parte, c’était Jeremy qui en souffrirait… et ça, jamais Kayla ne l’accepterait. Son café était peut-être une grande partie de sa vie, mais ce qui comptait le plus à ses yeux, c’était bien son Jeremy. Elle le protégerait ainsi aussi longtemps qu’il le faudrait, dû-t-elle demeurer célibataire à vie. De toute manière, c’était ce qu’elle voulait, non? Pourquoi donc commencer à chercher des raisons valables de refuser de sortir avec James? C’était ce qu’elle voulait, il n’avait qu’à faire avec! Et si ça ne lui plaisait pas, c’était bien lui le pire. Kayla avait été claire depuis le tout début. C’était non. D’accord, c’était parfois difficile de résister – James savait user de son charme – mais la volonté de Kayla était aussi forte que le désir de James de sortir avec elle.

Kayla arriva donc quelques minutes avant l’heure de son rendez-vous au garage. Elle avait stationné sa voiture et était entrée dans le garage… ça ne faisait que deux toutes petites minutes de rien du tout qu’elle était à l’intérieur du bâtiment quand une voix qu’elle ne connaissait que trop bien retentit derrière elle. D’accord, elle n’avait pas de chance, James était sur place et l’avait vue. Elle n’avait aucun moyen de se transformer en courant d’air, elle devrait donc faire face. Se retournant, elle dû faire un terrible effort sur elle-même pour ne pas écarquiller les yeux. Cet homme-là était beau, il n’y avait pas à dire. Sa chemise bleue – dont il avait roulé les manches – mettait ses yeux en valeur. Comme s’il avait besoin de rehausser la couleur de ses yeux! Il y avait des moments comme celui-là où elle réalisait pleinement ce que sa jeune employée lui répétait inlassablement. Pourquoi refusait-elle si obstinément de sortir avec un spécimen de ce genre? N’eut été de son entêtement à ne laisser entrer personne dans sa vie et les aventures d’un soir, Kay était bien prête à s’avouer qu’elle succomberait bien au charme du beau garagiste. Elle n’était pas faite en bois tout de-même!

- Elle s’est mise à faire un drôle de boucan ce matin… et il n’y a rien qui m’énerve plus qu’une voiture qui fait du bruit. Et tant qu’à être là, je vais en profiter pour faire le changement d’huile. répondit-elle à la question de James en haussant les épaules. J’imagine que ça doit être pour bientôt. ajouta-t-elle avant de tendre les clefs à James qui s’était rapproché d’elle.

La jeune femme était à peu près certaine que James était celui qui s’occuperait de son bolide, c’était pourquoi elle lui avait tendu ses clefs. En fait, depuis qu’elle était cliente de ce garage, elle n’avait jamais eu affaire à un employé. On peut aussi dire que la dame venait souvent au garage pour l’entretien de son véhicule. La mécanique n’étant pas du tout son point fort, elle préférait laisser ce job à des professionnels. C’était beau si elle arrivait à changer un pneu en cas de crevaison. Alors quand son bolide s’était mis à faire du bruit, sa patience avait été mise à rude épreuve. Son ancien tacot tombait en ruines, elle mettait une fortune en réparation dessus à chaque fois. C’était lorsque James lui avait fait comprendre qu’elle dépensait pour rien qu’elle avait décidé de changer de voiture. Ça lui avait tout de-même fait un peu de peine. C’est ridicule, c’était un morceau de tôle, un truc qui menait un vacarme d’enfer, démarrait une fois sur trois, mais… c’était sa première voiture. La première véritable grosse dépense qu’elle se permettait après l’achat de son petit café. S’en séparer – même si c’était ridicule – c’était un peu une sorte de deuil auquel elle avait dû faire face.

- J’espère simplement que ça ne sera pas trop long. Je dois aller chercher Jeremy et le conduire à son entraînement de natation. dit-elle sans trop savoir si c’était pour inciter James à faire vite ou pour combler un silence qu’elle trouvait toujours particulièrement gênant.
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James D. Hawthorne
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James D. Hawthorne

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Message(#) Sujet: Re: Welcome to me life? No, welcome to your life if you want... Welcome to me life? No, welcome to your life if you want... EmptyJeu 24 Jan - 23:55

James aurait aimé pouvoir montrer la vidéo de surveillance pour qu’elle puisse voir la panique dans ses yeux lorsqu’elle l’avait vu venir vers lui. Il trouvait la situation risible. Il aimait la voir ainsi, ce qui voulait dire qu’elle avait de la difficulté à lui refuser ses avances. Sinon, elle ne se sentirait pas prise ainsi, elle s’en ficherait complètement. Il n’allait pas jusqu’à la harceler non plus. Non, il lui faisait une invitation de temps à autres, mais pas tous les jours. Il ne voulait pas non plus qu’elle se lasse et le chasse complètement. Mais il voulait qu’elle accepte, un jour il finirait par l’avoir. Il était un entêté lorsqu’il voulait quelque chose et la patience était l’une de ses grande qualité. Dans sa double vie, il n’avait pas le choix, lorsqu’il devait faire disparaître quelqu’un la patience était de mise pour le connaître, le traquer et le faire disparaître de la circulation sans laisser de trace. Bien sur, il n’agirait pas de cette façon avec la jeune femme, il n’allait pas la tuer quand même, mais il agirait avec patience. Il écouta le jeune femme lui faire part du problème. Il regarda dans son dossier, qu’il avait prit juste avant de la rejoindre, il peut constater qu’elle avait raison, son changement d’huile était dû. Il hocha la tête. Pour le bruit, il devrait faire un petit tour pour écouter le bruit. Il prit les clés que la jeune femme lui tendit. Il eut un sourire en coin, elle savait donc qu’il ne laisserait pas la voiture entre les mains d’un de ses employés. En effet, il préférait faire lui-même la révision et les réparations de ceux qui lui étaient cher. Il avait confiance en ses employés, mais il ne voulait pas perdre la main en mécanique et tant qu’à devoir en faire, il aimait à choisir ses travaux. La jeune femme enchaîna pour lui dire qu’elle espérait que la réparation ne serait pas trop longue, car elle devait passer prendre son fils. Le petit Jeremy était vraiment fantastique et il avait comprit depuis longtemps que c’était l’une des raisons pour laquelle Kayla refusait tous les rencarts qui lui étaient proposés. Il regarda la jeune femme.

-Donne-moi 5 minutes, je vais lui faire faire un petit tour pour voir ce qui fait le bruit. Si jamais c’est trop long je te prêterai une voiture de location. T’en fait pas, je ne te laisserai pas être en retard pour Jeremy.

Il sortit du garage et monta dans la voiture. Il roula quelques instants, il n’eût pas besoin de beaucoup pour comprendre que le bruit en question venait de la roue avant. Il avait sa petite idée, s’il avait raison, et il avait rarement tord lorsqu’il s’agissait de mécanique, ce serait une question de minutes. Le changement d’huile serait plus long que la « réparation » en tant que telle. Il revient à son garage en moins de deux minutes. La jeune femme semblait légèrement anxieuse, elle devait espérer que la réparation ne serait pas trop chère. Il était content de lui avoir offert le plan complet lors de l’achat de sa voiture, ainsi ses premiers changements d’huile étaient gratuits, donc elle ne paierait pas pour ça. Et si le problème était ce qu’il pensait, il aurait besoin de quinze minutes au maximum pour régler le problème, il ne la ferait pas payer pour ça non plus. Ce n’était pas pour l’acheter ou quoi que ce soit, il aurait fait la même chose pour les autres clients, à moins que ce dernier ne soit vraiment très, très, chiant. Il entra le véhicule de Kayla directement dans le garage dans son air de travail à lui. Il décrocha son habit de travail, un vêtement une pièce en tissu résistant, on appelait ce vêtement « une chienne ». Il fit signe à la jeune femme de la rejoindre. Il fit ensuite monter la voiture dans les airs et commença à défaire le cap de roue du pneu avant côté conducteur. Lorsque la pâtissière fût près de lui, il parla tout en continuant sa tâche.

-Ton souhaite va être réalisé ma belle, ton problème est une question de minutes à régler et pour le changement d’huile, on parle d’une affaire d’une vingtaine de minutes. Donc tu auras même du temps pour toi avant d’aller récupérer l’homme de ta vie.

Il n’avait pas dit la dernière réplique de façon narquoise, il savait très bien que Jeremy passerait toujours en premier, il était l’homme de la vie de Kayla et s’était tout à fait normal en fait. Il admirait la force de la jeune femme, elle travaillait fort, son fils était brillant et très bien élevé, il ne pouvait que lui lever son chapeau. Elle avait tout réussit, tout sauf sa vie amoureuse qu’elle avait mit de côté de façon volontaire. Selon ce que l’employée de Kayla lui avait dit, le père de Jeremy lui avait brisé le cœur. Il pouvait comprendre qu’elle ne voulait pas qu’il arrive la même chose à son fils et qu’elle ne voulait pas non plus revivre ce sentiment. Il pensait à ce que l’homme qui lui avait ce magnifique enfant avait pu lui faire subir. Il ne le connaissait pas, mais aimerait le faire souffrir. On n’avait pas le droit de faire souffrir une jeune femme comme Kayla. Il connaissait un peu son histoire et savait qu’elle en avait bavé dans sa jeunesse et qu’elle avait besoin de quelque chose de bien dans sa vie. Son commerce et son fils en faisait partie, mais il avait envie de faire partie de son bonheur, faire d’elle une femme combler et faire en sorte que plus aucun nuage noire ne vienne assombrir sa vie. Après avoir enlevé le cap de roue, un minuscule boulon lui tomba dans la main. Voilà, il avait eu raison. Il montra l’objet à la jeune femme.

-Voilà le coupable.

Il fit un clin d’œil à la jeune femme, rehaussé d’un de ses sourires charmeur. Il remit le fautif en place avant de remettre le cap de roue au bon endroit. Il se retourna vers Kayla et lui offrit son plus beau sourire.

-C’est fait! Maintenant, reste à faire le changement d’huile et ton bébé mécanique sera comme neuf. Tu pourras ramener Jay en toute sécurité.


Dernière édition par James D. Hawthorne le Dim 3 Fév - 18:12, édité 1 fois
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Kayla M. Rydell
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Kayla M. Rydell

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Message(#) Sujet: Re: Welcome to me life? No, welcome to your life if you want... Welcome to me life? No, welcome to your life if you want... EmptyJeu 31 Jan - 3:43

Lorsque James lui dit qu’il allait partir avec la voiture quelques minutes, Kayla se contenta d’acquiescer, retenant de peine et de misère le soupir de soulagement qui menaçait de franchir ses lèvres. Elle pourrait mettre ces quelques minutes de répit à profit. Honnêtement, ça l’agaçait de réagir ainsi à la présence de James. Que ne pouvait-il la laisser indifférente? Les choses seraient tellement plus faciles si tel était le cas! Mais non! Il fallait qu’elle le trouve charmant et qu’elle aie de plus en plus de mal à résister… à son charme! Dire qu’il la harcelait serait poussé. Au contraire, malgré chacune de ses propositions pour un rendez-vous qu’il voyait refusée, James restait toujours un… gentleman. Il devait croire qu’il l’aurait à l’usure, qu’elle finirait bien par craquer un jour ou l’autre… et honnêtement, Kayla se demandait chaque fois s’il n’avait pas raison et si elle n’allait pas – inévitablement – finir par accepter de sortir avec lui. James la rendait nerveuse. Elle devait parfois subitement idiote quand il se trouvait près d’elle, Kayla perdait tous ses moyens. Et ça, ça ne lui plaisait vraiment pas. Elle n’était pas habituée à ce que la présence de quelqu’un lui fasse perdre ses moyens. Quand elle était en présence de James, elle ne se sentait plus maitresse d’elle-même, comme si elle ne pouvait plus prétendre à contrôler toutes les facettes de sa vie… et ça, ça ne lui plaisait franchement pas.

Non, pas du tout. Depuis toujours, Kayla était la maîtresse de sa propre destinée. Rien ni personne n’aurait le pouvoir de lui gâcher l’existence. Le père de Jeremy l’avait démolie, mais Kay s’était retroussée les manches. Si sur le coup la situation lui avait paru difficile et pénible, elle était maintenant fière d’avoir pu faire face à tout ce qui lui était arrivé et en sortir grandie. Certes, la vie lui avait compliqué grandement les choses, mais Kay ne s’était jamais laissée abattre. Non, elle avait continué à avancer et à foncer, apprenant de ses erreurs et faisant contre mauvaise fortune bon cœur. Certes, avoir un enfant à 18 ans n’avait jamais réellement fait parti de ses projets, mais elle l’avait assumé. Et très honnêtement, elle ne pourrait jamais dire qu’elle le regrettait. Son fils était le seul véritable cadeau que la vie lui ait donné et jamais elle ne pourrait avoir de regrets le concernant. Depuis le jour où elle avait appris qu’elle était enceinte, Kayla avait fait tout ce qui était possible pour être digne de ce bébé qui n’avait pas demandé à venir au monde. Le jour où le père de son bébé à naître l’avait quittée, Kayla s’était jurée de toute faire pour que son enfant ne ressente jamais l’absence de son géniteur et qu’il puisse avoir la meilleure vie possible. Ce n’était pas pour rien qu’elle avait trimé si dur toutes ces années. Elle l’avait fait pour Jeremy.

Au moins, il ne s’était pas proposé pour la conduire lui-même à l’école afin d’aller chercher Jeremy à la fin des classes. Kayla n’aurait pas su quoi répondre à ça. En fait, elle se serait probablement mise à bafouiller et prise de court, elle aurait bien été capable d’accepter alors que son cerveau lui crierait inlassablement de décliner l’offre et de dire qu’elle pouvait tout aussi bien prendre le taxi. Enfin! Le problème ne se posait pas, James lui prêterait une voiture le temps de la réparation de son bolide… si une réparation était nécessaire. Avec sa chance habituelle, Kayla était sûre et certaine que James lui annoncerait que c’était un truc tout bête qui l’avait rendue à moitié folle ce matin-là. Quoiqu’avec Jeremy qui faisait tout pour trainer et rechigner à aller à l’école – ce qui ne ressemblait pas à son fils – l’horripilant bruit qu’elle entendait sans cesse n’avait pas arrangé les choses.

Kayla profita donc pleinement des quelques minutes de répit qui lui étaient accordées. Elle s’installa sur le banc mis à la disposition des clients – en vérifiant tout de-même s’il était propre afin de ne pas salir ses vêtements – et patienta en sortant un livre de son immense sac à main – sa valise comme le disait si bien son fils. La lecture était une passion et quand elle plongeait le nez dans un bouquin, Kayla n’avait plus conscience du temps qui passait. Aussi ne réalisa-t-elle pas combien de temps James avait pu être parti. Tout ce qu’elle savait, c’était qu’elle avait levé le nez de son roman policier quand elle avait entendu le bruit d’un moteur. C’était James qui revenait avec son bolide chéri. Elle avait craqué pour cette voiture et s’étonnait chaque jour d’avoir eu l’audace de dépenser autant pour ce modèle alors que d’autres lui auraient convenus et pour moins cher. Même si Kayla n’avait plus trop à s’en faire avec les fins de mois à cause de son commerce rentable, c’était une habitude chez elle de chercher à économiser en prévision des coups durs. Elle avait passé tellement d’années à économiser ses sous en toutes circonstances qu’elle en avait gardé le réflexe. Parfois, lorsqu’elle allait faire les boutiques et que Jeremy voulait un truc dispendieux, elle commençait par refuser à cause du coût… avant de réaliser qu’elle pouvait maintenant se permettre de faire des folies de temps à autre. Certes, elle n’accédait pas à toutes les requêtes de son chenapan préféré – ce n’était pas un service à lui rendre – mais elle se poussait à le gâter de temps en temps quand c’était mérité. Tout comme elle se faisait plus souvent plaisir en s’achetant de nouveaux vêtements ou les chaussures qui lui faisaient de l’œil dans la vitrine d’une boutique. Chaussures dont elle n’avait pas absolument besoin, évidemment.

Sa voiture, son bolide chéri, c’était la même chose. Elle avait eu un coup de cœur. Kayla s’était mise à se dire que c’était beaucoup d’argent pour un peu de ferraille monté sur du caoutchouc, mais elle avait fini par succomber en se disant qu’elle le méritait bien.

Enfin! Son bolide était entre les mains de James, elle n’avait plus qu’à attendre le verdict, même si elle se doutait bien qu’avec la chance qui était la sienne, le problème serait ridicule et réparé en quelques minutes. Kayla n’y connaissait rien en voiture. C’était à peine si elle savait changer un pneu. A vrai dire, ça ne lui était même jamais arrivé – Kay toucha du bois, histoire de ne pas attirer le mauvais sort – et elle se félicitait régulièrement d’avoir pris le truc que James lui avait proposé lors de l’achat de sa voiture. C’était lui qui devrait se démerder si jamais il y avait le moindre pépin avec le bolide neuf. Viendrait un jour par-contre où ça ne serait sûrement plus d’actualité. Il lui faudrait donc songer à envisager d’avoir un truc d’assistance et de dépannage en cas de problème. Bref, voilà une autre note que Kay devrait ajouter à son agenda déjà bien chargée.

Ne voulant pas nuire à James – elle n’aimait pas travailler et avoir quelqu’un qui regardait constamment sur son épaule aussi ne le faisait-elle pas aux autres – Kayla était restée assise sur son banc et attendait le verdict… mais James ne l’entendait pas de la même façon. En effet, une fois qu’il fut vêtu de ce truc informe et taché, il lui fit signe de le rejoindre. Ne pouvait guère refuser, la jeune femme le rejoignit pendant qu’il faisait monter la voiture sur le truc prévu à cet effet. Lorsqu’elle arriva à ses côtés, James entreprit de démonter… l’enjoliveur – c’était ça le nom, nom? – du pneu avant du côté conducteur. James semblait croire que c’était une bêtise, car il lui fit savoir que son souhait allait être exaucé, que le problème ne prendrait quelques minutes à régler. Le changement d’huile serait plus long, mais Kayla pourrait sortir de là et être à l’heure pour aller chercher l’homme de sa vie. La jeune femme s’était souvent demandé comme il pouvait être au courant du fait qu’elle appelait son fils ainsi… jusqu’au jour où elle avait réalisé que c’était probablement un employé qui avait trop bavardé. Kayla aurait pu mal prendre la façon dont James avait parlé de Jeremy, mais… elle savait qu’il n’avait aucune arrière-pensée en le disant. Chose qui était rare chez les gens.

En effet, généralement quand les gens apprenaient qu’elle avait un fils de douze ans, ils lui demandaient systématiquement son âge. Certes, Kayla paraissait un peu plus jeune que son âge – son look devait y être pour quelque chose – mais chaque fois qu’elle répondait qu’elle avait eu son fils à 18 ans, on la regardait différemment. Comme si elle était une autre de ces gamines qui n’avaient pas de jugement et couchaient avec les garçons pour avoir leur attention. Les premières années, Kayla trouvait difficile le regard que les gens portaient sur elle dès qu’ils commençaient à compter, mais avec le temps, elle avait appris à ne plus s’en faire avec les jugements des autres. Ça n’avait pas été facile pour autant, mais c’était sa vie, son choix, sa décision.

La jeune femme en était là dans ses réflexions lorsque James lui montra un truc qu’il tenait à la main. Et voilà, elle était maudite! C’était bien un truc ridicule qui l’avait rendue dingue. Au moins, James ne se moqua pas d’elle, c’était déjà ça de pris. Après lui avoir montré le boulon, le mécanicien le remis en place avant de refaire la manœuvre pour le truc métallique… avant de la regarder en lui faisait un beau sourire et un clin d’œil pour accompagner ses propos.

- Si je comprends bien, tu es entrain de me dire que c’est ce truc qui m’a rendue dingue ce matin et qui faisait tout ce boucan? questionna la jeune femme en secouant la tête.

De toute évidence, elle n’y connaissait strictement rien dans le domaine de la mécanique. Si tel avait été le cas, Kayla aurait forcément pu se douter que le bruit que faisait sa voiture était dû à une bêtise. Encore heureux qu’elle ait décidé de venir à ce garage. Ailleurs, on se serait peut-être moqué d’elle. C’était sans doute un mal pour un bien.

- Ou bien je pousse mon fils à entreprendre des études en mécanique dans quelques années ou j’épo… ou bien je l’apprends moi-même! dit-elle rapidement, espérant que James n’aurait pas compris son lapsus.

Bon sang qu’elle était idiote! Un peu plus et elle aurait dit «ou j’épouse un mécanicien»! Qu’est-ce qui lui était passé par la tête? Comment avait-elle pu être bête au point de dire une stupidité pareille! Le mariage ne l’avait jamais tentée et ne la tenterait probablement jamais – enfin, elle pouvait peut-être un jour tomber sur un spécimen qui lui ferait changer d’avis – et voilà qu’elle parlait de ça? Devant l’homme qui voulait sortir avec elle et à qui elle refusait toutes les propositions? Il n’y avait pas à dire, Kayla Ryder ne manquait jamais une occasion de se la fermer!



Désolée… c’est peut-être long, mais c’est tellement mauvais que j’en ai honte. J’ai vraiment eu du mal à écrire quelque chose de sensé. J’espère que ça t’inspirera un peu quand même.
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James D. Hawthorne
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Message(#) Sujet: Re: Welcome to me life? No, welcome to your life if you want... Welcome to me life? No, welcome to your life if you want... EmptyDim 3 Fév - 21:22

Il aurait pu la laisser lire son livre tranquillement et juste faire ce qu’il avait à faire, mais il aimait qu’elle soit près de lui. Après tout, elle ne voulait pas accepter ses sorties, mais il pouvait quand même lui faire découvrir un peu plus de lui-même à travers ses visites à la pâtisserie ou lorsqu’elle venait au garage pour sa voiture. Il l’a laisserait reprendre son livre lorsqu’il se serait installé pour le changement d’huile. Parler la tête sous la voiture n’était pas des plus agréable, ni des plus simple. La jeune femme semblait se sentir stupide de la simplicité de son problème et pourtant, elle n’avait pas à rougir, il avait vu des choses bien pire dans sa carrière. Du genre quelqu’un qui avait laissé un jouet pour enfant et qu’il s’était retrouvé sous le siège produisant un bruit sans que le conducteur puisse trouver d’où il provenait. C’était toujours drôle de voir la tête des gens. De plus, ce qu’avait vécu Kayla avec sa voiture était des plus courants, la vibration que causait la route faisait en sorte que les boulons à l’intérieur de la roue pouvaient se desserrer. Heureusement, il n’y avait rien de dangereux, ce n’était pas un boulon qui servait à maintenir la roue en place. Il lui servit son sourire charmeur avant de répliquer.

-Tu n’es pas la première, ni la dernière à qui ce problème arrive. C’est une chose qui arrive assez régulièrement alors ne t’en fait. C’est justement parce que c’est courant que j’ai su tout de suite ce qui causait le bruit, avec le temps on en vient à le reconnaître aisément. Un peu comme toi avec tes clients, tu en viens à savoir ce qu’ils veulent et ce qu’ils aiment lorsqu’ils reviennent.

Il était souvent d’ailleurs l’un des premiers à goûter ses essais de gâteau au fromage. Elle savait qu’il adorait ce dessert et qu’il savait reconnaître les saveurs qui plairaient à ses clients. Il se faisait un devoir de toujours être honnête, mais il était rare qu’il ait à dire que c’était mauvais, elle avait l’œil pour trouver des saveurs extraordinaire qui se mariait à merveille avec sa recette originale de gâteau au fromage. Elle était brillante, c’est ce qu’il aimait d’elle, elle était ambitieuse, elle aimait tenter des choses et innover et s’était important dans son métier. Heureusement qu’il était actif de nature, sinon il aurait pris au moins vingt kilo depuis qu’elle avait ouvert sa pâtisserie. Il y passait plusieurs fois par semaine et pas seulement car la propriétaire était intéressante, mais parce que ses pâtisseries étaient à tomber par terre tout simplement. Il en était là dans ses pensées lorsque la jeune femme laissa échapper une phrase qui le fit sourire. Elle s’était reprise, mais il avait bien comprit le lapsus qu’elle avait fait. Épouser un mécanicien ou faire en sorte que son fils apprenne la mécanique. Elle avait bien sur changé pour le fait qu’elle devrait peut-être l’apprendre par elle-même. Il se passa la main sur le menton dissimulant à moitié son amusement.

-Tu sais, je suis disponible pour les trois choix, autant pour l’époux mécanicien, que professeur pour ton fils ou toi sur la mécanique.

Il lui fit un clin d’œil moqueur.

-Allez trêve de plaisanterie, je te laisse aller lire pendant que je m’occupe de ton changement d’huile.

Il se détourna un moment avant de la regarder à nouveau l’œil luisant de malice. Il savourait déjà les mots qu’il allait dire.

-Mais tu es magnifique quand tu rougis comme une adolescente après avoir ouvert une porte aussi grande que celle par où est passée ta voiture il y a quelques instants. Tu peux faire des lapsus comme celui là tous les jours si tu veux, sortant de ta bouche c’est toujours un velours à l’oreille.

Il avait toujours été clair dans ses intentions avec elle, il n’avait aucune cachette pour ses sentiments. Certains trouvaient que c’était une faiblesse pour un homme, lui il trouvait que c’était une force. Pourquoi cacher ce que l’on ressent? C’est stupide non? Bien sur, il n’était pas du genre à faire passer ses émotions dans son visage, il pouvait même être difficile à déchiffrer, mais il n’avait pas peur de dire qu’il aimait quelqu’un, qu’il voulait faire sa vie avec elle et compagnie. Il n’avait pas peur de l’engagement non plus. S’il avait été à la place du père de Jeremy, il ne serait pas partit comme un lâche, il aurait assumé ses responsabilités comme un homme et aurait aidé la jeune femme dans l’éducation de leur enfant. C’était sa façon de penser, bien sur, il y en avait à qui ça faisait peur et qui fuyait devant la paternité, lui non. Il aurait aimé avoir des enfants, et s’il avait la chance d’en avoir un jour il en serait plus qu’heureux. Il la laissa reprendre sa lecture, sachant qu’elle serait sans aucun doute trop ébranler par ce qu’elle venait de laisser échapper pour se concentrer sur sa lecture. Cette pensée le fit sourire, mais il mit un point d’honneur à ne pas regarder vers la jeune femme pour qu’elle puisse vivre son trouble sans voir son sourire à lui et être encore plus mal à l’aise. Il se concentra sur son travail, lui n’avait aucune difficulté à faire de coupures. Il fit la vidange d’huile, changea le filtre de la voiture, fit une inspection des freins, de l’air dans les pneus, vérifia les bougies et tout ce qui pourrait nuire à la sécurité de Kayla et Jeremy. Il avait prit un peu plus de temps que la normale pour un changement d’huile, mais il avait eut envie de vérifier que tout était parfait avec la voiture avant de la rendre à sa propriétaire. Donc quarante-cinq minutes plus tard, il se lava les mains et alla rendre ses clés à la jeune femme.

-Et voilà, tout est en ordre. Tu es bonne pour un autre six milles kilomètres ou bien quatre mois avant ton prochain changement d’huile. Si tu as le moindre problème n’hésite pas à revenir, aucun bruit n’est stupide, aucune question futile, la sécurité sur la route il n’y a rien de plus important et une voiture en ordre te garde l’esprit tranquille au moins pour ça.

Parce que bien sur personne n’était à l’abri d’un conducteur stupide ou simplement dans la lune sur la route. Il y avait aussi des fous qui voulaient mettre fin à leur jours et qui emportaient avec eux des gens qui n’avaient rien demandé de tel. Il ne pouvait pas la protéger contre ça malheureusement, mais il pouvait veiller à ce que sa voiture ne la laisse pas tomber en court de route. Il commença à retirer son vêtement protecteur, il avait gardé ses vêtements en dessous bien entendu, sinon il n’aurait pas fait ça devant la jeune femme, rendu au milieu, il s’arrêta et regarda la pâtissière.

-Kayla, je sais que tu ne veux pas de rendez-vous galant, mais accepterais-tu une sortie entre ami?


Il eut un sourire en voyant l’air de la jeune femme. C’était peut-être surprenant pour elle, après tout, il n’avait jamais proposé autre chose que des soupers en tête-à-tête. Avait-il changé de tactique? Peut-être, mais en fait, il avait vraiment envie de ce qu’il allait lui proposer, envie de passer un moment comme celui qu’il allait lui ouvrir et qui sait, peut-être allait-il pouvoir passer une porte vers celles que Kayla gardaient bien fermées autour d’elle. Il l’a regardait dans les yeux, son expression était sincère.

-J’aimerais que Jeremy et toi m’accompagniez à une partie de basketball ou au musée. Je ne sais pas trop ce que vous préférez tous les deux. Mais en fait, vous pouvez choisir ce que vous voulez comme endroit, ça me ferait simplement plaisir de me retrouvez en votre compagnie pour une journée. On pourrait aussi aller manger quelque part avant de sortir si ça vous dit.

Il espérait qu’elle dirait oui, il avait rencontré Jeremy à plusieurs reprises à la pâtisserie et le gamin était intéressant, intelligent comme sa mère et amusant. Il aimait sa compagnie et il arrivait souvent que l’enfant et lui s’assoyaient à la même table et passait des heures à discuter, à faire des joutes de mots, ils avaient même déjà joué aux échecs ensembles. C’était intéressant de voir ce petit homme qui protégeait sa mère du regard autant qu’elle s’attendrissait en regardant son fils. Il y avait une complicité entre la mère et son fils et aimait ce qu’ils vivaient, il voulait en faire partit parce que à ses yeux, il n’y avait rien de plus beau au monde.
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Kayla M. Rydell
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Kayla M. Rydell

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Message(#) Sujet: Re: Welcome to me life? No, welcome to your life if you want... Welcome to me life? No, welcome to your life if you want... EmptyDim 10 Fév - 3:09

Cruche, cervelle de moineau, triple buse, conne, imbécile, triple idiote, voilà ce dont Kayla s’affubla après son fouttu lapsus. Évidemment, il fallait compter sur James pour avoir tout saisit. Plutôt que de faire comme s’il n’avait rien «remarqué», il en ajoutait une couche en disant qu’il était disponible pour tous les postes… en mentionnant le mari en premier, évidemment! Comment pouvait-elle se sortir de celle-là sans faire davantage de gaffes ou sans aggraver son cas, hein? Le mariage? Il la voyait comme une candidate possible pour ça? Il voyait grand ce cher mécanicien! Une chose était sûre, on ne pouvait pas dire qu’il cachait ses sentiments ou que ses intentions n’étaient pas claires. Des intentions… comme si on était de retour en 1850!

Enfin, pour l’instant, Kayla avait d’autres chats à fouetter. Elle était d’ailleurs sur le point de répondre quelque chose comme quoi elle n’était pas du tout à la recherche d’un mari quand il lui fit remarquer qu’elle rougissait. Évidemment! S’il y avait une chose que la jeune femme détestait par-dessus tout, c’était bien sa tendance à rougir dès l’instant où quelque chose la gênait. Elle était incapable de ne pas rougir et elle maudissait la génétique de lui avoir transmis cette calamité. A cause de ça, Kayla était totalement incapable de cacher à quel point elle pouvait être gênée ou morte de honte. Et pour en rajouter une couche, James lui dit qu’elle pouvait faire des lapsus comme celui-là tous les jours si elle le voulait et qu’elle était magnifique à rougir comme une adolescente.

Et la jeune femme rougit de plus belle.

Comment se sortir de là maintenant? Heureusement, James devait s’occuper de la voiture, aussi Kayla rejoignit-elle le banc sur lequel elle était assise quelques minutes plus tôt et recommença-t-elle à lire. Enfin, à essayer de lire. La jeune femme relisait sans cesse la même ligne, ne comprenant pas le sens de ce qu’elle avait sous les yeux. Réalisant que James ne devait rien manquer de tout ça, Kay tourna-t-elle la page pour faire comme si elle était bel et bien entrain de lire, comme si le moment de gêne était chose du passé et qu’en fin de compte, ça ne l’affectait pas tant que ça. Oh que Kayla aurait voulu que ça soit la vérité! Mais dans les faits, elle ne parvenait pas à s’expliquer comment elle avait pu en arriver à dire de telles âneries. Elle ne le comprenait pas. Parler de mariage? Et puis quoi encore? Elle n’avait jamais envisagé de se marier un jour. En fait, pour ça, il lui faudrait quelqu’un à épouser et comme elle s’était jurée de ne jamais laisser un homme entrer dans sa vie, ça réglait le problème. Non? Alors pourquoi avait-elle dit ça? C’était incompréhensible.

La jeune femme continua à réfléchir à tout ça, tournant lentement les pages comme si elle lisait pour vrai plutôt que de se creuser les méninges. Elle espérait juste être parvenue à donner le change et que James n’y avait vu que du feu. Ou que ses employés n’aient rien remarqué non plus. La jeune femme ne saurait dire combien de temps James travailla sur la voiture, mais elle en déduisit que ça faisait un bon moment. Son cœur commençait à retrouver un rythme normal et ses joues n’étaient plus rouges. Kayla s’apprêtait à l’entendre lui proposer à nouveau un rendez-vous, mais elle tomba des nues lorsqu’il en proposa un… en compagnie de Jeremy. Musée, baseball, n’importe quoi, pourvu qu’ils passent la journée tous ensembles.

Son entêtement était flatteur certes, mais à la longue, ne se fatiguait-il pas de toujours se faire dire non? Mais elle ne pouvait pas. Elle ne pouvait pas exposer son fils à… à quoi au juste? A passer une belle journée avec un homme gentil et charmant qu’ils connaissaient bien tous les deux? D’un autre côté, Kayla n’ignorait rien de ses liens avec le Parrain. Avait-elle vraiment besoin de s’exposer aux côtés de James ainsi? Était-il sage de laisser Jeremy côtoyer James? D’accord, Kay avait conscience de couper les cheveux en quatre et de trop se poser de questions… mais elle était faite comme ça! De plus, elle s’était toujours jurée qu’elle protégerait son fils. Le laisser s’attacher à un homme qui finirait sans doute par se lasser d’elle, d’eux, c’était s’exposer à ce que son bébé souffre… et ça, la jeune femme ne le voulait pas. Elle ferait tout ce qui était en son pouvoir pour que ça ne se produise jamais. Et s’il fallait continuer à refuser de sortir avec James, alors elle le ferait. Dû-t-elle trouver difficile de refuser ou d’en souffrir…

- Honnêtement, c’est flatteur de te voir ne pas abandonner comme ça, mais… je ne peux pas. marmonna la jeune femme en baissant les yeux et en fixant le bout de ses chaussures comme si c’était la chose la plus intéressante au monde.

Elle n’avait pas dit qu’elle ne voulait pas, mais bien qu’elle ne pouvait pas. Kayla ne pouvait se permettre de faire passer ses intérêts avant ceux de son fils. Depuis que Jeremy était né, il avait toujours eu la priorité et ça, ce n’était pas prêt de changer. Certes, certaines personnes pouvaient ne pas comprendre pourquoi elle agissait de la sorte, mais pour elle, c’était ainsi et voilà tout. Elle ne pouvait se permettre de penser à elle d’abord. Sortir avec un homme et s’exposer à lui faire une place dans sa vie, c’était également courir le risque que Jeremy s’attache à lui. Lui qui avait toujours désiré – il devait croire que sa mère ne se doutait de rien – avoir un papa tout à lui, s’il fallait qu’il s’attache à un homme et que ce dernier finisse par les quitter, c’était Jeremy qui aurait le cœur brisé. Et ça, Kayla ne voulait pas que ça se produise. Sans compter que le père biologique de Jeremy avait grandement ébranlé sa confiance en elle en la plaquant comme ça lorsqu’elle lui avait annoncé sa grossesse.

D’un autre côté, ce n’était pas un véritable rendez-vous où ils ne seraient que tous les deux. Ce qu’il lui proposait, c’était d’inclure Jeremy dans cette sortie. C’était quand même bien manœuvré, il fallait que Kayla l’admette. Bien sûr, elle savait que si James proposait que Jeremy les accompagne, ce n’était pas pour marquer des points auprès de sa mère. Enfin, pas uniquement pour cette raison-là! Elle savait que l’homme appréciait son fils et que c’était réciproque. L’intérêt que James portait à Jeremy n’était pas soudain, ça ne sortait pas de nulle part. Si elle acceptait cette proposition, Kayla savait qu’elle passerait sans aucun doute une bonne journée. Alors que risquait-elle à accepter? Elle risquait de trouver James encore plus de son goût qu’il ne l’était déjà. C’était ça qui était le plus dangereux. Si elle s’attachait à lui, elle risquait d’avoir le cœur brisé. Elle et son fils avec. Était-elle prête à risquer tout ça? D’un côté, elle avait très envie d’accepter, mais de l’autre, sa sacro sainte règle qui lui dictait de ne sortir avec aucun homme lui revenait sans cesse en mémoire. Si elle acceptait une fois, il lui faudrait manœuvrer plus difficilement la prochaine fois que James lui proposerait un rencard…

- Très bien, j’accepte. Par-contre, ça ne doit pas créer de précédent. Si j’accepte cette fois-ci, il n’en ira pas toujours ainsi.

Et ce fut à ce moment-là que Kayla se mordit la lèvre inférieure. Elle avait parlé sans même réfléchir, ç’avait été plus fort qu’elle. Au moins avait-elle eu la présence d’esprit de préciser que ça ne se reproduirait probablement pas ou tout du moins, qu’il ne fallait pas espérer que ça changerait quelque chose au fait qu’elle refusait systématiquement tous les rendez-vous que James pouvait lui proposer. Ah et puis merde! Elle allait passer une bonne journée en compagnie de son fils et d’un homme qui l’attirait comme un aimant. Qu’y’avait-il de mal à ça? Ce n’était pas comme s’il était marié ou s’ils étaient tous deux en train de vivre une liaison alors qu’ils avaient tous deux quelqu’un dans leurs vies! Advienne que pourra! Il était trop tard pour reculer, elle avait déjà accepté. Il serait bien temps de s’inquiéter des répercussions que tout ça aurait sur sa vie plus tard.
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Message(#) Sujet: Re: Welcome to me life? No, welcome to your life if you want... Welcome to me life? No, welcome to your life if you want... EmptySam 16 Fév - 14:53

Flatteur, elle avait dit que c’était flatteur de le voir ne pas abandonner. Il eut un petit sourire en coin, elle ne voulait pas voir ou alors elle préférait ne pas voir. Il était amoureux d’elle, tout le monde le savait même elle, mais pourtant elle ne voulait pas l’accepter dans sa vie. Il pouvait comprendre qu’elle ait peur, il pouvait comprendre qu’elle ne voulait pas que son fils souffre. Mais il était là, il était là pour rester. Jamais il ne fuirait devant Jeremy, jamais il ne le verrait autrement que comme l’homme de la vie de Kayla. Il voulait devenir le second, il s’en contentait. Il traiterait l’enfant comme le sien, d’ailleurs Jeremy était plus qu’attachant. Il n’avait même pas eu à faire l’effort de s’entendre avec lui, c’était venu naturellement. Il s’entendait bien, s’amusait à chaque fois qu’ils passaient un moment ensembles au café. Il n’avait pas peur de la paternité, il n’abandonnerait jamais cet enfant même si le destin décidait que lui et sa mère ne serait pas un couple officiellement.

S’il n’avait pas vu l’hésitation sur le visage de la jeune femme, il aurait été plus que déçu de son nouveau refus. Il attendit cependant, elle semblait en combat intérieur, elle avait l’air de vouloir accepter, mais elle se battait avec les choix de vie qu’elle avait faite. Il l’a regardait avec une expression neutre, il voulait qu’elle puisse choisir sans qu’elle se laisse attendrir par un air triste de sa part ou de déception. Il voulait qu’elle prenne la décision par elle-même. Mais il dû se retenir d’exploser de joie lorsqu’elle finit par accepté son invitation. Il avait marqué un point en décidant d’inclure Jeremy avec eux, c’était une bonne idée et il avait sincèrement envie de faire cette sortie. Il ne l’avait pas invité pour la piéger ou quoi que ce soit.

Elle lui fit comprendre que cette sortie n’obligeait à aucun précédent. Il eut un sourire et hocha la tête pour confirmer qu’il comprenait et qu’il acceptait les termes. Il avait la tête en ébullition, il pensait à tous ce qu’ils pourraient faire tous les trois. Il n’avait pas encore d’idée précise en fait, mais il avait envie de trouver un des meilleures idées. Une sortie qui pourrait se prolonger. Et s’ils commençaient par le musée et ensuite dans l’après-midi une joute de basket des 76ers de Philadelphie. Ou même le zoo le matin et le jardin botanique dans l’après-midi, ou alors le musée et le zoo ou le jardin et la joute … il n’en venait à plus savoir quoi choisir. Il regarda la jeune femme d’un œil brillant. Il avait vraiment hâte de faire cette sortie et était complètement emballé. Il prit le visage de la jeune femme et posa un baiser tendre et passionné sur ses lèvres. Bon, d’accord, ce n’était peut-être pas la meilleure des idées dans les circonstances, mais il était trop content pour passer à côté de ça. Il aurait pu l’embrasser de façon plus, immature, mais justement, il ne voulait pas qu’elle croit qu’elle avait affaire à un adolescent, mais à un homme. Il voulait qu’elle le voit d’un autre œil que comme un homme qui pouvait lui faire du mal, car il pouvait très bien lui faire du bien.

-Tu ne le regretteras pas, je te le promets. Tu ne seras pas non plus obligé à rien envers moi par la suite, ni à un autre rendez-vous, ni même un autre baiser comme celui là. C’était simplement pour t’exprimer ma joie de pouvoir sortir avec vous deux.

Il y eut des sifflements dans le garage, bien sur, aucun employé n’avait manqué ce qu’il venait de faire. Mais un seul regard suffit à tous les faire taire. Le patron pouvait être très gentil, mais il n’était pas votre ami, il pouvait être sympathique, mais il pouvait aussi être direct et vous mettre à la porte si vous marchiez de travers. Ils en avaient tous eu une bonne preuve lorsqu’il avait mit un employé de longue date à la porte parce qu’il faisait du trafique de marchandise illégale dans le garage. Ce n’était rien de très grave, des cigarettes et ce genre de petites choses, mais il avait piqué une colère dont tout le monde se souvenait et le mécanicien avait été renvoyé sur le champ sans aucun préavis. L’autre avait demandé une deuxième chance, mais c’était non. Tout le monde savait que James ne voulait rien d’illégal dans son garage. Ils savaient tous maintenant qu’il ne plaisantait pas avec ça. Après ce petit intermède, il se recentra sur la jeune femme.

-Alors, dis-moi ce que tu veux faire. J’ai pensé qu’on pourrait aller au musée ou au jardin botanique, peut-être au zoo et dans l’après-midi à une joute de basketball si vous aimez ça tous les deux. On pourrait manger quelque part entre les deux.

Il espérait ne pas avoir tout flanqué par terre avec son baiser. Mais il n’avait pas pu s’en empêcher, c’était trop tentant en fait. Il en rêvait depuis longtemps et même si le moment avait été somme toute bref, il avait pu l’apprécier. Il était plus patient habituellement, ses baisers étaient mieux que celui qu’il venait de lui donner, mais bon, il n’avait pas voulut non plus lui laisser le temps de le frapper pour qu’il se dégage d’elle. Ne lui restait qu’à espérer qu’elle ne le prendrait pas mal et ne reculerait pas devant le choix qu’elle venait de faire. Ils étaient des humains, ni lui, ni elle n’était fait en bois après tout. Mais il savait aussi que ce geste pouvait lui vouloir de ce faire dire non à nouveau. La seule chose positive, elle ne l’avait pas repoussé et ne lui avait pas encore flanqué de claque ou de coup pour lui avoir arraché se baiser. Peut-être que l’effet de surprise était trop grande, elle devait encore analyser ce qu’il venait de faire. Kayla n’avait rien d’une écervelé, elle était brillante, intelligente aussi. Les gens la sous-estimait parce qu’elle avait un côté excentrique avec ses mèches rouges flamboyantes.

Il avait même surprit une conversation un jour, un couple de personnes âgées qu’il avait surprit à dire que s’ils avaient été les patrons de l’endroit ils n’auraient jamais engagé une jeune femme avec cette tête. Il leur avait sourit, c’était penché de leur côté et lui avait soufflé sur le ton de la confidence « -Sauf que c’est elle la propriétaire de cet endroit, donc elle a le droit de se mettre la tête bleue, verte ou mauve si elle veut. De plus, c’est elle qui fait ses merveilleuses pâtisseries que vous avez complimentées tout au long de vôtre dégustation. Elle est jeune et frivole, mais elle excelle dans son métier et son commerce est très fréquenté.». Il leur avait fait un petit clin d’œil et s’était remit à sa place en faisant comme si rien ne s’était passé. Mais il savait que Jeremy n’avait rien manqué de l’histoire, il l’avait vu à son petit sourire en coin. Le couple s’était montré plus aimable, voyant d’un œil admiratif cette jeune femme qui avait réussit en affaire et qui faisait elle-même ce qu’elle servait à ses clients. Ils lui avaient laissé un très bon pourboire. Kayla s’en était étonnée d’ailleurs, mais il lui avait dit que c’était pour son bon service et ses bons produits. Une autre anecdote de plus dans son cerveau en ébullition. Il regarda la jeune femme dans les yeux et lui sourit, il attendait le verdict à présent.
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Kayla M. Rydell
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Kayla M. Rydell

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Message(#) Sujet: Re: Welcome to me life? No, welcome to your life if you want... Welcome to me life? No, welcome to your life if you want... EmptyDim 24 Fév - 2:00

Décidément, James était plus qu’emballé de la voir accepter son «rendez-vous»! Pour preuve, il avait accepté la condition qu’elle imposait – à savoir que ça ne voulait pas dire que ça serait amené à se reproduire – et en plus, il l’embrassait rapidement. Et une fois de plus, Kayla se mis à rougir comme une collégienne… ce qui ne fit qu’empirer lorsqu’elle entendit des employés se mettre à siffler. Ce fut à ce moment-là que la jeune femme pria ardemment pour que le sol s’ouvre sous ses pieds et l’engloutisse avant de se refermer. Oh, le baiser – bien que bref – avait été plus qu’agréable. N’eut été des témoins de la scène, elle se serait peut-être même surprise à y répondre, mais voilà, les sifflements l’avaient tellement gênée que Kayla s’était écartée d’un léger pas. Heureusement – merci James! – d’un seul regard, le patron fit taire ses employés. Juste pour ça, Kayla aurait pu l’embrasser sur le champ, histoire de le remercier convenablement. Cependant, elle n’en fit rien, plus pressée de partir et de se faire oublier. Non, vraiment Kayla Rydell n’aimait pas être le centre de l’attention.

Néanmoins, James semblait fou de joie parce qu’elle avait accepté et c’en était presque contagieux. Kayla se surpris à sourire en l’entendant dire qu’elle ne le regretterait pas, énumérer tout ce qu’ils pourraient faire, lui demandant en même temps ce qu’elle, elle avait envie de faire ce jour-là. A vrai dire, la jeune femme ne savait pas trop. En fait, leurs activités dépendraient de la température qu’il ferait. Philadelphie n’était pas une ville où il faisait très froid en hiver, mais qui peut réellement prédire la météo? Par-contre, s’il ne faisait pas trop froid et s’ils s’habillaient convenablement, une journée au zoo pourrait être amusante. Sans compter que Jeremy lui cassait les oreilles depuis des mois pour y aller. Oui, Kayla avait promis qu’ils y passeraient toute une journée, mais c’était ça d’être mère célibataire et propriétaire de son commerce! Les journées n’avaient que vingt-quatre heures et les tâches, bah… elles se fichaient bien de savoir qu’il y avait autre chose de prévu au programme! Puis l’idée du jardin botanique était bonne. Meilleure que le musée. Certes, Jeremy aimait ces choses-là, mais une journée entière enfermé dans un musée, c’était une toute autre histoire.

- Passe au café cette semaine et on en discutera. répondit la jeune femme à la question que James avait posée, à savoir ce qu’elle voulait faire.

Bref, ils avaient encore le temps de réfléchir à tout ça, mais c’était agréable de voir James être tout heureux qu’elle aie enfin accepté. Juste le grand sourire qu’il affichait et sa joie contagieuse suffisaient à la rendre de bonne humeur également. Certes, cette journée pouvait la stresser légèrement, mais d’un autre côté, elle était finalement contente d’avoir accepté. Si ça se passait mal, ils ne réitéreraient pas et si ça se passait bien… ça serait un autre sujet de casse-tête pour Kayla, mais ça lui servait à quoi de se casser la tête justement avec des «si»? A absolument rien, sinon à se stresser pour des choses sur lesquelles elle n’avait aucun contrôle. Et puis, dans le pire des cas, si jamais elle en venait qu’à changer d’avis et à se dire que ça n’avait tout simplement pas de sens, elle n’aurait qu’à contacter James et lui proposer de remettre ça en inventant un mensonge plausible. Elle avait encore quelques jours devant elle après tout.

- Pour le baiser… ce n’est pas parce que je rougis comme une collégienne que c’était désagréable pour autant. souffla Kay, histoire que personne d’autre que James n’entende ce qu’elle disait.

Et sur une impulsion subite, sans trop savoir ce qui lui passait par la tête, Kayla s’approcha de James, se mis sur la pointe des pieds – elle n’avait jamais réalisé à quel point il pouvait être plus grand qu’elle! – et l’embrassa rapidement… avant de tourner les talons et de sortir du garage pour rejoindre sa voiture, le nez baissé et les joues rouges. Évidemment, elle n’avait pas oublié de glisser dans la main de James une enveloppe contenant des billets. Elle ignorait s’il y en avait assez, mais dans le pire des cas, elle finirait de payer le reste en gâteaux au fromage!

Dieu merci, un employé avait fait sortir sa voiture du garage pendant que James et Kay discutaient. Kayla le remercia mentalement d’être venu lui rendre son trousseau de clefs sans les interrompre. Quelle horreur ç’aurait été de devoir rentrer à nouveau dans le garage pour récupérer son bien! Là, c’est vrai que Kayla aurait souhaité que le sol s’ouvre sous ses pieds!
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