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 Mac ◗ Being in a relationship is a full time job. So don't apply if you're not ready

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Mackenzie E. Fletcher
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■ En ville depuis le : 11/10/2012
■ Messages : 2461
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■ J'ai : 32 ans
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■ Je suis : Capitaine, chef de la police
■ Mon adresse : Sud au #36

■ Célébrité : Evangeline Lilly
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Mackenzie E. Fletcher


break glass and call for help
.:
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Message(#) Sujet: Mac ◗ Being in a relationship is a full time job. So don't apply if you're not ready Mac ◗ Being in a relationship is a full time job. So don't apply if you're not ready EmptyLun 7 Jan - 17:37




Mac ◗ Being in a relationship is a full time job. So don't apply if you're not ready 875011GifEvangelineLillt1500x250

Mackenzie Elizabeth Fletcher


Carte d'identité
Nom: Fletcher. Prénom: Mackenzie. Diminutif: Mac pour les intimes.
Date de naissance: 21 novembre. Age: 30 ans. Nationalité: Américaine.
Orientation sexuelle: Hétérosexuelle. État civil: En couple depuis peu avec Makan. Emploi/Études: Lieutenant à la brigade Criminelle.

Avatar: Evangeline Lilly. Crédits: Athéna.
Personnage: Personnage Inventé Scénario

«Life doesn't deliever anything we can't handle»



Questions en vrac
Plat préféré: Pizza. Parfum de glace préféré: Butterscotch.
Couleur préférée: Toutes, mais une préférence pour le rouge. Chanson préférée: Ça change. Pour l'instant c'est "The best is yet to come".
Film préféré: Robin Hood, prince of thieves. Série préférée: Difficile... Grey's Anatomy.
Nuit? écrire ici. Semaine ou week-end? Week-end



Parce que tout le monde a son histoire...
Cher Journal,

J’ai hâte que l’année scolaire finisse. Encore heureux que Brad soit là et que la peste de Lydia me fiche un peu la paix quand il est avec moi. Elle a le béguin pour lui depuis des années et elle a jamais compris qu’elle n’avait aucune chance parce que Brad, bah… il est gay! Bref, toujours est-il que lorsque Brad est avec moi, elle me fout un peu la paix… mais quand il n’est pas là par-contre, elle s’en donne à cœur joie. Cette petite conne a décidé qu’elle allait me pourrir la vie et elle a commencé en beauté! Lundi, elle commençait par me piquer ma place à côté de Brad dans l’autobus scolaire, mardi elle fout le bordel dans mon casier, mercredi c’était de mettre une tonne de sel dans ma soupe. Et aujourd’hui, elle m’a carrément prise dans un coin pour me menacer. Madame voudrait que je fasse ses devoirs pour augmenter sa moyenne. Évidemment, elle me propose de me laisser tranquille tant et aussi longtemps que je vais être gentille et faire ce qu’elle me demande – ordonne serait plus juste. Elle est tellement stupide… Comme si les professeurs n’allaient pas se rendre compte que ses notes augmentaient miraculeusement alors qu’elle était toujours incapable de donner des réponses à leurs questions en classe! Pfff! Ils ne sont pas tous très malins, mais ils ne sont pas stupides non plus. Faut pas les prendre pour des valises quand même!

Évidemment, j’ai refusé et l’autre imbécile, elle l’a mal pris. Pauvre petite, elle va devoir se contenter de couler son année. Ou trouver une autre pauvre cloche pour faire ses devoirs! C’est triste à dire, mais ça ne devrait pas être trop difficile. Elle aime faire régner la terreur et mener tout le monde à la baguette. Elle y excelle, mais moi, elle m’a jamais eue! En tout cas, chose est sûre, ça ne sera pas moi qui ferait ses quatre volontés! Bref! Je retourne à mes moutons: comme j’étais pour m’éloigner d’elle en faisant comme si je ne la voyais pas, il a fallu que la peste me tire les cheveux! C’est là que j’ai vu rouge. Je peux supporter bien des choses, mais qu’on me tire les cheveux et qu’on m’insulte, ça non, ça passe pas! C’est à ce moment-là que je lui ai mis un bon coup de poing sur le nez. Comme je le faisais régulièrement lorsqu’on était encore gamines. Moi si j’ai vieillit depuis, il faut croire que Lydia, elle ç’a pas été le cas!

Et bien-sûr, il fallait que Madame Cohen – la prof d’histoire – passe à ce moment-là! Évidemment, c’est moi qu’elle a vu frapper l’autre bécasse, alors c’est moi qui aie atterrit dans le bureau du directeur, moi qui aie dû supporter le sermon qu’il s’est senti obligé de me faire… et moi qui aie dû le regarder appeler mon père – prof à mon école – pour le faire venir parce que j’avais de «légers ennuis». Ouppss! La tête qu’il a faite quand il m’a vue dans le bureau. Depuis que je vis avec mes parents, mon père n’a jamais été très porté sur la discipline et ça, c’est sans doute dû aux circonstances entourant mon adoption, mais là, je sens qu’il regrette de ne pas avoir été plus sévère avec moi.

Là, c’est vrai que ça va mal tourner. Pour le moment, il m’a envoyée dans ma chambre en me disant qu’il était déçu et que me bagarrer avec les autres, ça ne réglait pas les conflits. Ç’a tout pris pour que je ne lui dise pas que c’était sans doute dans mon ADN! Qu’est-ce qu’il aurait pu répondre à ça, hein? Pour ce qu’on sait de mon père biologique et de ma droguée de génitrice, ça pouvait fort bien être vrai… mais je sais que ce n’est pas le genre d’arguments à donner à mon père dans des moments comme celui-là. Il va me dire que mes décisions ne dépendent pas de mon ADN, mais bien de moi, que mes réactions découlent de la façon dont j’ai été élevée. Des fois, c’est à croire que j’ai été élevée par les loups. Enfin… Maintenant, j’attends qu’il discute avec maman de ma punition. Je sens que je vais me faire retirer le droit de faire de la photo pour un moment. Et fini les soirées vidéo du week-end… Y’a pas à dire, cette petite conne de Lydia, elle va m’en faire baver encore longtemps! Au moins, son nez et les ecchymoses qu’elle aura sûrement seront ma récompense. J’ai presque hâte à demain pour voir combien il aura fallu de fond de teint pour cacher tout ça… et l’entendre expliquer pourquoi j’avais senti le besoin de la frapper! Finalement, ça vaut presque la punition que mes parents m’infligeront!

D’accord, je ne suis pas vraiment fière de m’être fait prendre, mais je ne regrette pas de l’avoir frappée. Ça, non, jamais! Lydia avait couru après! Je l’avais avertie que si elle continuait, elle aurait droit à un bon coup de poing. Et pourtant, ce n’est pas comme si elle ne savait pas que je pouvais la frapper! Elle y a eu droit à quelques reprises dans le passé! Faut dire que du plus loin don je me souvienne, elle a toujours cherché à me tyranniser. J’ai demandé à changer d’école, mais mon père ne voulait rien savoir et il me répondait inlassablement de ne pas m’occuper de Lydia, qu’elle finirait par me laisser tranquille quand elle verrait que je ne lui répondais plus… Bah oui! J’ai essayé! Mais ça ne fonctionne pas! La peste, elle revient tout le temps à la charge. Le seul moyen que j’ai trouvé pour avoir la paix, c’était de lui montrer que j’étais encore capable de lui donner un bon coup de poing. J’espère lui avoir cassé le nez à cette vipère! Elle l’aurait bien mérité!


Quinze ans plus tard…


Cher journal,

Ça fait un bon moment que je n’ai pas écrit dans mon journal, je m’en rends bien compte aujourd’hui. Tellement de choses se sont passées dernièrement dans ma vie, c’est fou. J’ai souvent parlé de Makan… et bien depuis peu, nous formons officiellement un couple. A vrai dire, ça me surprend encore! En fait, ce qui me surprend encore c’est d’avoir appris qu’il s’intéressait à moi depuis notre première rencontre. Dire qu’on a perdu tout ce temps à se tourner autour sans se rendre compte que l’autre ressentait la même chose… La vie est drôlement faite parfois. C’est vrai! Je déteste les médecins et pourtant mon petit ami est un médecin. Et pas n’importe quelle sorte en plus! C’est un légiste. Autant dire que les occasions de le croiser dans le cadre de mon boulot sont assez grandes. C’est sûr que je préfèrerais le voir ailleurs qu’à la morgue – endroit que je déteste par-dessus tout – mais ce n’est pas comme si je ne pouvais pas le voir ailleurs le reste du temps!

Comment ça s’est passé? Pas que je risque de l’oublier un jour, mais ce n’est pas grave! On s’était donné rendez-vous pour aller prendre un verre dans un bar. Rien de bien palpitant, on le faisait quand même régulièrement. Sauf que ce soir-là, pour une raison que je ne m’explique pas encore, j’ai bu plus que d’habitude. En fait, on a bu plus que de coutume. Mak m’a ensuite raccompagnée jusqu’à ma porte… et le reste se passe de commentaires. De toute manière, même si je voulais raconter le tout en détails, je n’y arriverais pas, car tout ça c’est flou dans ma tête. Les choses en entraînant une autre, on a fini par se retrouver dans mon lit.

C’est le lendemain matin que les choses se sont corsées. Makan dormait encore quand je me suis réveillée avec une sacrée migraine – merci à l’alcool ingurgité – et dire que j’ai été surprise, voire même sous le choc de le voir dans mon lit serait un euphémisme. Encore sous le choc, je me suis levée en veillant à ne pas le réveiller tout en prenant le drap pour me couvrir… et ensuite, direction la salle de bain. Il fallait que je commence par prendre un truc pour la migraine, le reste pouvait bien attendre. Je n’ai eu le temps que de prendre un cachet avant d’entendre la voix de Makan qui m’appelait. Pas le temps de sauter sous la douche, de m’arranger un peu pour être présentable, j’ai juré tout bas en enfilant mon peignoir tout en priant pour qu’une fois, ma tête aie l’air d’autre chose que du truc échevelé que je voyais à chaque matin dans le miroir. Après quoi, j’ai inspiré profondément en me disant que si j’étais capable de me tenir face à un type armé sans broncher, je pouvais bien faire face à Mak après une nuit… mémorable! Parce qu’une fois un peu plus réveillée, je commençais à me souvenir un peu plus de la nuit… A vrai dire, je m’en souvenais très bien. Mais j’entendais Makan s’approcher et mon appartement n’étant pas gigantesque, il allait rapidement deviner où je me cachais, fallait donc que je me décide à sortir et à faire face. Plus facile à dire qu’à faire!

Mais j’ai pris mon courage à deux mains. Après tout, si j’avais couché avec lui, je devais être assez adulte pour l’assumer. Oh, je l’assumais, mais ça ne voulait pas dire que ç’allait être facile pour autant. Forte de cette bonne résolution, j’ai ouvert la porte… pour le voir juste devant moi, son jean enfilé et sa chemise ouverte, les pieds nus. Wow. J’ai toujours trouvé qu’il était bel homme, mais là, c’était plus que mon petit cœur pouvait en supporter. Et je présume que j’ai dû rougir comme une écolière – c’est une première, depuis quand je rougis, moi? – car il s’est contenté de me demander si ça allait. J’ai bafouillé quelque chose et je lui ai proposé le petit déjeuner sans réfléchir deux secondes à la question ultime «mais est-ce que j’ai fait les courses?»! Faut croire que ma cervelle n’était pas trop au ralentit, car ça m’est revenu tout de suite en tête. J’avais fait les courses la veille, sachant que je n’aurais pas le temps et que comme à chaque fois, quand je voudrais me faire un truc, je n’aurais pas les ingrédients sous la main.

A la cuisine, je lui ai proposé des œufs, du café, des croissants, bref n’importe quoi, du moment que je pouvais m’activer et ne pas rester planter là à réfléchir à la façon de me sortir de ce mauvais pas. Eh non, je ne suis pas le type «aventure d’un soir» et les rares fois où ça m’est arrivé – je ne suis pas faite en bois! – bah… je m’arrangeais pour que ça ne se passe pas chez moi et pour fouttre le camp avant le réveil du type en question. Avec Makan, la situation était légèrement plus compliquée. Il était chez moi, donc difficile de le planter là… et bon sang, j’étais amoureuse de lui depuis une éternité! J’aurais été totalement incapable de faire comme s’il ne s’était rien passé. Nous étions des amis et les amis… bah je n’en ai pas des tas, donc pas d’amis que je pouvais sacrifier comme ça parce que ça m’arrangeait. Et puis même si je l’avais vraiment voulu, j’aurais été incapable de le faire. C’était Makan, pas n’importe quel type rencontré au bar du coin.

Il avait dû remarquer que j’étais… légèrement mal à l’aise, car il ne s’est pas installé à table. Non. En homme charmant tel qu’il est, il est venu m’aider à préparer le petit déjeuner. C’est idiot, mais c’était un point de plus pour lui. J’aime les hommes qui ne se laissent pas servir. Bref, une fois à table pendant que j’essayais de me noyer dans mon café, cherchant quelque chose d’intelligent à dire et/ou comment lui faire comprendre que ça ne signifiait pas grand-chose pour moi – je suis une piètre menteuse, il ne m’aurait probablement pas cru de toute façon – quand ce charmant médecin a pris les devants. Si ce matin-là était étrange et me donnait l’impression d’être dans un tout autre univers, ça n’allait pas en s’arrangeant. Parce que Makan, celui que je connais depuis des années – merci Brad! – m’a dit que pour lui, ce n’était pas une histoire d’un soir, qu’il avait des sentiments pour moi depuis longtemps.

Je sais que ça va paraitre stupide, mais c’est ce moment-là que j’ai choisi pour remonter la manche de mon peignoir et me pincer violement le bras. Franchement, il fallait que je dorme et que je fasse un rêve vraiment sadique pour entendre Mak avouer qu’il m’aimait! Le hic, c’est que ç’a fait un mal de chien, ça l’a surpris et je n’ai pas pu faire autrement que d’admettre que je ne rêvais pas. J’ignore sincèrement ce qui m’a pris, mais je lui ai demandé s’il se fouttait de ma gueule parce qu’il savait que je l’aimais depuis longtemps. Je crois qu’il ne s’y attendait pas à la tête qu’il m’a faite. Quand on dit qu’une image vaut mille mots…

Bref, depuis cet étrange matin, on est ensembles. Et j’ai encore du mal à y croire! Je me pince régulièrement pour m’assurer que cette belle période de ma vie est belle et bien vraie…!




Derrière l'écran, il y a...
Pseudo: Athéna. Prénom: Ariane. Age: Faudrait que je compte.
Fréquence de connexion: Normalement, tous les jours.
Code du Règlement:
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