Le Deal du moment :
Cdiscount : -30€ dès 300€ ...
Voir le deal

Partagez
 

 Two sisters and a brother [AnnaLisa & Raffael]

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas 
AuteurMessage




https://streets-philadelphia.forum-canada.com/t325-laurel-stevenshttps://streets-philadelphia.forum-canada.com/t374-true-ou-not-pv-aidan-anna-laurelhttps://streets-philadelphia.forum-canada.com/t377-104-everything-happens-for-a-reason-except-for-the-things-you-mess-up-yourself
Laurel Stevens
Two sisters and a brother [AnnaLisa & Raffael] Tumblr_m1ibk0meLV1r9n0vm

■ En ville depuis le : 03/11/2013
■ Messages : 143
■ Pseudo : /

■ J'ai : 27 ans
■ Je suis : Célibataire/en couple selon les jours - compliqué en somme.
■ Je suis : Flic à la criminelle
■ Mon adresse : Quartier Nord #104

■ Célébrité : Amber Head
■ © Avatar : Moi-même
■ Un sujet? : Oui

Laurel Stevens

Two sisters and a brother [AnnaLisa & Raffael] Empty
Message(#) Sujet: Two sisters and a brother [AnnaLisa & Raffael] Two sisters and a brother [AnnaLisa & Raffael] EmptyDim 2 Fév - 17:06

Laurel s'était portée volontaire pour visionner les bandes Fairy-Night club et avait réalisé les démarches en amont à cet effet-là. Effectivement, Mac avait trouvé bon de signaler qu'un mandat serait plus que nécessaire en raison du caractère protecteur du propriétaire qui n'était personne d'autre que Raffael Di Valastro. Voilà un détail monumental que la blonde avait omis. Si elle l'avait su, elle aurait préféré être assigné à la scène de crime - exigeant donc moins de contact avec son demi-frère caché - que d'avoir à lui faire face.

A priori, elle ne craignait pas un Di Valastro mais les choses s'étaient un tantinet compliqué dernièrement. Elle avait pu se rendre compte avec sa rencontre avec Anna Lisa, sa demi-sœur. Laurel n'avait pas pu se tenir éloigné ni s'empêcher d'avoir une conversation avec. Malheureusement, sa haine pour les criminels étaient là et la discussion s'était envenimée. Non, la dame était médecin - métier noble- mais elle n'en restait moins la fille du parrain. Le plus insupportable était qu'elle le protégeait et le défendait comme père aimant.

Laurel soupira et préféra ne plus y penser. Elle allait faire face à un autre membre de cette famille qui lui a été caché durant 25 ans, et dans le cadre de son travail. Autant dire qu'elle saura être professionnel et faire abstraction de ses propres envies, ou colères ou tout ce que vous voulez qui touche au privé. C'était là tout le bonheur du travail !

Laurel avait attendu d'être en début de soirée pour se diriger tout droit vers le night club. Mine de rien, il fallait préparer la soirée que ce soit les boissons, les pièces, la sono ... bref, forcément le propriétaire ou quelqu'un était déjà là. Oh et puis ajoutons que ce n'était pas n'importe quelle boîte de nuit ! C'était dans les quartiers Est de Philadelphie, en gros la classe sociale huppée s'y était regroupée, et beaucoup des établissements qui s'y étaient installés étaient à leur image : classe, haut de gamme.

Il restait environ une heure ou deux avant l'ouverture. Elle se dirigea vers une porte d'entrée puis vers la porte de service - la première étant fermée vu qu'elle était en dehors des horaires d'ouverture -. Le personnel fut tout sauf accueillant quand elle expliqua la raison de sa venue et ils ont été hermétique à toute demande malgré tout ce qu'elle disait ou montrait dont le mandat.

- Votre nom vous disiez ?
- Laurel Stevens, flic à la criminelle et je suis là pour l'enquête sur l'attaque sur vos clients. Deux clients pour être précis,
dit-elle avec le plus de patiente possible.

Finalement, ils abandonnèrent et allèrent chercher Raffael, la faisant patienter "gentiment" à l'extérieur. Vraiment ...des jours, elle voulait incendier le monde. Son entrée discrète -ou sa "surprise"- était ratée maintenant et il faudra donc faire face à ce gentil bonhomme qu'était Raffael.


Revenir en haut Aller en bas




https://streets-philadelphia.forum-canada.com/t251-on-ne-choisit-pas-sa-famille-mais-ma-famille-elle-m-a-t-elle-choisit-non-plus
Annalisa V. Di Valastro
Two sisters and a brother [AnnaLisa & Raffael] 2qjygpy

■ En ville depuis le : 19/05/2013
■ Messages : 200
■ Pseudo : Stella

■ J'ai : 31 ans
■ Je suis : En couple avec Jared
■ Je suis : Médecin en pédiatrie
■ Mon adresse : Sud #33

■ Célébrité : Katie McGrath
■ © Avatar : Athena
■ © Photo identité : Athena

■ Multicomptes : Non
■ Un sujet? : Libre

Annalisa V. Di Valastro

Two sisters and a brother [AnnaLisa & Raffael] Empty
Message(#) Sujet: Re: Two sisters and a brother [AnnaLisa & Raffael] Two sisters and a brother [AnnaLisa & Raffael] EmptySam 8 Fév - 0:28

Annalisa était venue voir son aîné au club, il travaillait beaucoup et elle aussi, donc elle passait de temps à autre pour venir s’assurer qu’il allait bien et qu’Evy tenait le coup. Elle n’était pas du genre à faire des prescriptions à qui mieux mieux, mais elle savait que si son frère avait besoin il ne demanderait à personne d’autre qu’à elle car il était du genre à détester à aller à l’hôpital et ce genre de chose. Raff avait tout de même bonne mine, mais elle savait qu’il souffrait encore de la perte de son enfant et des blessures qui avaient été infligé à sa copine. Et maintenant, il voyait Evy avoir mal pour ce petit bonhomme qui était mort, il devait ramasser sa copine et son cousin, James n’était pas du genre bavard sur ses sentiments mais il n’allait pas bien lui non plus. Elle avait a peine saluer son frère et demander comment il allait qu’un employé se dirigea vers eux. Il indiqua qu’une policière attendait à l’entrée des employés pour poser quelques questions sur l’agression de deux de leur « client ». Déjà là, Raffael devait fulminer. Elle-même se sentait assez insulté pour Evy qui était beaucoup plus qu’une cliente, elle était une employée et la conjointe du patron. Mais c’est lorsque l’employé nomma le flic que la docteure vue rouge.

-Stevens tu as dis?

L’employé lui confirma le nom de la personne qui demandait son frère. Mais que foutait-elle ici? Que voulait-elle à son frère? Il avait donné les bandes, avaient tout fait pour coopérer. Cherchait-elle des poux où il n’y en avait pas où tentait-elle vraiment de faire son boulot? Anna était des plus méfiantes avec ce qu’elle savait de la jeune femme. Laurel avait elle-même avoué qu’elle leur vouait un méprit sans nom dû à leur père. Comme son frère se dirigea vers la porte des employés à l’arrière, elle le suivit de près. Lorsqu’elle vit la jeune femme, elle sentit la rage monter en elle, le mépris qu’elle avait ressentit chez la jeune femme lors de leur dernière rencontre lui revient en mémoire. Elle détestait les personnes comme Laurel qui ne comprenait pas qu’ils n’avaient pas choisit leur père, mais qu’il n’était pas qu’un criminel à leurs yeux d’enfants. Elle n’approuvait pas ce que son père faisait dans l’organisation criminelle, mais allait-elle renier celui-ci? Renier son père n’était pas une solution, surtout qu’avec eux, il avait été un bon père.

Son frère s’arrêta, dans un réflexe défensif, elle se mit entre lui et la policière. C’était ridicule, elle le savait, une réaction enfantine, mais l’autre l’avait blessé et elle ne laisserait pas son frère subir le même sort. Elle ne laisserait Steven s’attaquer à son frère sans raison valable. Il avait assez souffert et Evy aussi. Il n’était pas question qu’elle laisse cette femme dire quoi que ce soit de travers. Elle arracha le mandat des mains du flic et ce mit à le lire. Il réquisitionnait les vidéos que Raffael avait déjà données de façon volontaire aux policiers. Anna savait qu’il les avait toujours, elle savait qu’il les regardait souvent comme s’il tentait de deviner qui était cet homme et se souvenir de tout ce qu’il avait commandé, tout ce qu’il avait fait dans son club. Elle donna le papier à son frère sans quitter des yeux la jeune femme.

-Elle veut les vidéos. Donnes-les lui si ça peut les aider à mettre cet homme derrière les barreaux, mais attention à ce que tu lui dis, elle nous déteste parce que nous sommes les enfants Anthony Di Valastro. J’ai déjà goûté à son sermon empoissonné, crois-moi, tu n’as pas envie qu’elle te le déverse dans les oreilles.

Elle alla se remettre à la hauteur de son frère et leva une main comme si elle disait une minute.

-Ah oui, en passant, vous pourriez regarder mieux vos dossiers quand vous venez demander quelque chose. L’une des victimes n’étaient pas une simple cliente, elle est une employée ici, gérante même et elle est aussi la conjointe de mon frère qui collabore gentiment depuis le début. Vous devriez être au courant puisque c’est aussi la sœur de votre supérieure.

Elle savait par les journaux que Mackenzie avait été écarté de son travail. Tout ça pour une histoire d’ADN encore… elle était la sœur du chef des Irlandais et alors? Elle était sa sœur, pas son acolyte! Elle n’avait rien à voir avec les activités criminelles d’Aidan O’Reilly. C’était comme eux, ils étaient les enfants du Parrain, mais ils n’étaient pas relié à sa vie criminelle.
Revenir en haut Aller en bas




https://streets-philadelphia.forum-canada.com/t240-raffael-g-di-valastro-beer-is-proof-that-god-loves-us-and-wants-us-to-be-happy
Raffael G. Di Valastro
Two sisters and a brother [AnnaLisa & Raffael] 1655pi

■ En ville depuis le : 24/03/2013
■ Messages : 174
■ Pseudo : Slash

■ J'ai : 37 ans
■ Je suis : En couple avec Evangelyne J. McCarthy
■ Je suis : Propriétaire du Fairy Night Club
■ Mon adresse : Sud #35 (pour le moment)

■ Célébrité : Joe Manganiello
■ © Avatar : Shiya
■ © Photo identité : Athéna

■ Un sujet? : Libre

Raffael G. Di Valastro

Two sisters and a brother [AnnaLisa & Raffael] Empty
Message(#) Sujet: Re: Two sisters and a brother [AnnaLisa & Raffael] Two sisters and a brother [AnnaLisa & Raffael] EmptySam 8 Fév - 14:03

Il aimait toujours les visites de sa sœur, elle s’inquiétait beaucoup pour lui, mais pour Evy aussi. Elle en oubliait presque ce qu’elle avait elle-même perdu. Elle avait perdu son filleul ou sa filleule et elle avait maintenant perdu un enfant qu’elle connaissait bien pour lui avoir sauvé la vie dans le passé. D’accord, elle n’était pas aussi proche du petit Jeremy qu’Evy pouvait l’être, mais tout de même. Elle l’avait pleuré elle aussi, comme tous les autres. Ce petit garçon avait voulut défendre sa mère et il en avait récolté la mort. Ses hommes étaient des monstres et celui qui avait commandé ça n’était pas mieux. On disait que c’était le Caméléon qui avait commandé cet attaque, avait-il prévu que l’enfant serait-là? Avait-il prévu que ses hommes tueraient le gamin? Son père avait souvent prit des décisions qui lui avait coûté cher dans la vie, les hommes qui avait causé ses bévues perdaient la vie, en était-il ainsi pour le Caméléon? Était-ce une bévue des hommes choisit pour faire le travail? Il ne savait pas. Il ne voulait pas savoir non plus, car tout ceci le ramenait à son père qui était le même genre de personne que ce Caméléon, il n’avait pas envie de penser à son père de cette façon.

Ils venaient à peine de se donner les nouvelles l’un de l’autre qu’un de ses barman arriva avec la nouvelle qu’une policière de la criminelle le demandait. Annalisa parut savoir de qui l’employé parlait. Il était surprit que sa sœur connaisse une policière, il l’avait vu se raidir aussi. Il avait voulait qu’elle reste au bar, mais elle l’avait suivit, elle se planta même devant lui pour prendre, ou plutôt arracher, le mandat de perquisition des mains de l’agent. Il croisa les bras sur la poitrine regardant Stevens. Il déplorait que Mackenzie ne soit pas là, il détestait avoir affaire à des flics et encore plus à ceux qui les mettaient dans le même panier que son père. Il avait beau aimer celui qui lui avait donné naissance, il n’aimait pas ce qu’il faisait dans la vie comme gagne pain. Enfin, pas le côté criminel. Son père était aussi restaurateur et ça fonctionnait bien. Il aurait aimé que son père ne soit que l’homme d’affaire et non pas le criminel notoire qu’il était. Mais comment une personne comme Stevens pouvait comprendre ça? Elle n’avait pas été élevée par lui, elle ne savait comment il pouvait être bon pour sa famille. Elle ne savait que ce qu’il faisait de mal.

Lorsque sa lecture fût terminée, Anna lui fit part du mandat. Ils avaient besoin des vidéos, les vidéos qu’il gardait précieusement dans son coffre-fort. Il n’avait pas pu se résoudre à les effacer et s’était bien tant mieux puisque les flics en avaient encore besoin semblait-il. Sa sœur lui confirma ce qu’il pensait déjà de la policière, elle ne faisait pas de différence entre eux et leur père. Il eut un petit sourire narquois sur les lèvres. Ce sourire était pour la jeune femme qui leur faisait face à lui et sa sœur. Cette dernière vint se mettre à ses côtés, il décroisa les bras et posa un bras protecteur autour de ses épaules. Son visage était neutre, c’était l’une des choses que son père lui avait apprit, se fermer à toutes émotions. Il disait :« Tu peux les ressentir, mais ne les laisse pas prendre le contrôle sur toi et surtout, surtout, ne laisse personne les voir sinon, ils auront un pouvoir sur toi ». Il ne laisserait aucun flic avoir le pouvoir sur lui, aucun flic, ni aucun homme de son père. Il ne voulait rien avoir à faire avec ni l’une ni l’autre des organisations. Les policiers pouvaient se montrer aussi véreux que les hommes de son père, alors pourquoi leur ferait confiance?

Anna en ajouta, déjà qu’elle avait une attitude qui ne lui ressemblait pas, elle mit à la figure de Stevens qu’elle n’avait pas bien fait son travail en disant « deux clients ». Il avait tiqué quand son employé avait utilisé se terme, heureusement qu’il avait fait des guillemets avec ses doigts pour indiquer qu’il reproduisait les propos de la policière car il lui aurait rappelé que c’était Evy qui signait ses chèques maintenant qu’elle était gérante. L’Italien eut un petit sourire en coin lorsque sa petite doc préférée rappela à l’autre que sa supérieure était entre-autre la sœur de cette même victime. Mackenzie avait des ennuis, il savait aussi que son père avait tenté de la faire tuer. Evy en avait voulut à Tony, elle lui en voulait encore d’ailleurs car c’était pour cette raison que tout avait été mit à jour. Ils avaient découvert qu’Aidan était le frère de la policière. Elle avait de sacré ennuis. Comme si c’était sa faute à elle si sa mère avait donné naissance à un criminel? Raff et Anna n’avaient pas choisit leur père, tout comme Mackenzie n’avait pas choisit son frère. Il sut plus qu’il ne vit, que ses employés avaient cessés de travailler pour regarder la confrontation qui se préparait. Il leva le ton pour être sur qu’ils entendent bien, mais sans lâché des yeux la « fliquette » devant lui.

-Le spectacle est terminé, retourner travailler sinon je ferme la boîte pour ce soir et personne n’aura de salaire.

Il entendit plusieurs personnes partir dans tous les sens, ils savaient très bien qu’il était sérieux. Lorsqu’il fermait pour l’inventaire, il les payait, mais là, s’il devait fermer parce qu’ils avaient cessé les préparatifs pour la soirée, il ne les paierait certainement pas. Il fit un signe de tête vers son bureau.

-Nous serons mieux dans mon bureau pour discuter. Cependant, je vous avertis, un seul mot sur mon père et son organisation et je vous jure que je remettrai les vidéos à un autre inspecteur en disant que vous n’êtes pas assez objectives pour faire votre enquête correctement. Comprenez bien que ce n’est pas une menace c’est un avertissement. Je veux probablement plus que vous que l’on retrouve ce malade, alors que je n’aurai aucune gêne à me tourner vers un de vos collègues plus compétant si vous n’êtes pas capable de faire la part des choses. D’ailleurs, Mackenzie ne doit pas connaître votre aversion envers notre famille, sinon elle ne vous aurait pas mit sur le cas avant d’être mise de côté.

Il savait que Stevens allait venir, en fait, il ne savait pas que ce serait elle directement, mais il savait que les flics avaient besoin de revoir les témoins et compagnie. Il le savait parce qu’Evy avait été contacté. Il savait bien que son tour viendrait dans l’histoire. Il savait aussi qu’avant d’être suspendu, c’était Mackenzie qui menait cette enquête, donc c’était elle qui avait mit cette Laurel sur le coup, il ne pouvait en être autrement. Il serra Anna contre lui, déposa un baiser sur sa tête avant de l’entraîner avec lui vers son bureau. Il ouvrit la porte et invita, d’un geste de la main, les deux jeunes femmes à y entrer en tenant la porte de façon poli.
Revenir en haut Aller en bas





Contenu sponsorisé

Two sisters and a brother [AnnaLisa & Raffael] Empty
Message(#) Sujet: Re: Two sisters and a brother [AnnaLisa & Raffael] Two sisters and a brother [AnnaLisa & Raffael] Empty

Revenir en haut Aller en bas

Two sisters and a brother [AnnaLisa & Raffael]

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut
Page 1 sur 1

Sujets similaires

-
» Bon moment mauvais endroit? [Annalisa]
» The after [pv Raffael]
» Raffael G. Di Valastro --­ Beer is proof that God loves us and wants us to be happy.
Réponse Rapide
Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum

Streets of Philadelphia :: Fairy Night Club

-