Life is what happens to you while you're busy making other plans.
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(#) Sujet: Life is what happens to you while you're busy making other plans. Lun 7 Oct - 23:42
Calliope Maria Di Marco
Carte d'identité
Nom: Di Marco Prénom: Calliope M. Diminutif: Callie Date de naissance: 12 décembreAge: 43 ansNationalité: Italo-Américaine Orientation sexuelle: Hétérosexuelle État civil: En couple Emploi/Études: Neuro-Chirurgienne Groupe: how to save a life
«Rebellion is the only thing that keeps you alive!»
Questions en vrac
Plat préféré: Lasagnes. Parfum de glace préféré: Vanille avec un soupçon de miel. Couleur préférée Rouge et vert. Chanson préférée: Love me tender du King. Film préféré: Dirty Dancing. Série préférée: Grey's Anatomy. Jour ou nuit? Aucune préférence. Semaine ou week-end? Week-end lorsqu'elle est en congé.
Parce que tout le monde a son histoire... Calliope Maria Di Marco, un nom prestigieux diriez-vous? Et vous auriez bien raison de le croire. La jeune fille n’est pas née en Italie, mais ses parents oui. Son père, à la tête d'une grande compagnie prospère, a été muté aux États-Unis - grâce à son propre père - quand la branche américaine a essuyé des pertes financières dues à une fort mauvaise gestion. Le Signore Di Marco avait donc embarqué sa petite femme avec lui et ils s'étaient installés à Philadelphie, pensant que ça ne durerait pas éternellement et qu'ils rentreraient en Italie là où ils avaient toujours pensé fonder leur famille. Les choses ne se sont pas déroulées tout à fait de cette façon. Ses patrons, trouvant qu'il était un atout majeur pour la branche américaine, lui confièrent la direction de ladite branche... Lui et sa femme restèrent donc à Philadelphie et c'est au « General Hospital » que leur petite Calliope dite Callie a vu le jour... une nuit où la ville essuyait une tempête de neige monstre.
Désireux que leur fille bénéficie de ce que la vie avait de meilleur à lui offrir, ses parents l'inscrivirent à l'école privée... pour filles uniquement, ça allait de soi. Ses parents lui avaient trouvé la meilleure école de la ville et il en était allé de-même pour l'université. Ils pouvaient lui passer n'importe quoi, mais pour eux l'instruction était primordiale. Heureusement pour les Di Marco, Callie a toujours aimé les études, apprendre de nouvelles choses... Callie était également du genre très sportive, toujours entrain de bouger quand elle n'avait pas le nez dans ses livres. La gymnastique de compétition et l'équitation avaient sa préférence même si elle pratiquait aussi la natation et le tennis. Quand elle ne faisait pas de sport, elle siégeait à différents comités à l'école, faisait parti du journal étudiant, participait aux ventes de charité... Elle était ce que ses parents se plaisaient à appeler « une enfant parfaite ».
Ils lui donnèrent un tout autre surnom le jour où Callie décida de se rebeller. Rien de majeur, juste un tout petit peu, histoire de sortir de la vie monotone qu'était la sienne. Elle allait avoir ses dix-sept ans, enviait ses copines qui sortaient avec les garçons, faisaient du shopping le week-end, couraient au salon de beauté dès que la chanteuse à la mode changeait de style capillaire... En gros, Calliope enviait ses amies et voulait faire un peu comme elles. Elle ne changea pas du tout au tout, ne fut jamais arrêtée par la police, ses parents ne furent jamais appelés au centre commercial parce qu'elle avait volé un tube de rouge à lèvres, mais la jeune fille parfaite pris un peu le bord. Callie voulait profiter de la vie un peu avant d'être accablée par les soucis de la vie des adultes, elle voulait découvrir la vie, faire des choses un peu plus excitantes que de passer son temps à étudier. Si son changement d'attitude déstabilisa quelque peu ses parents, ce furent ses fréquentations qui les laissèrent perplexes.
Callie se mis à sortir tard le soir, à ne pas respecter le couvre-feu que lui imposaient ses parents, sortant avec des garçons aux allures de... mauvais garçons! Plus ils avaient l'air de sortir tout droit de prison, mieux c'était. A leur contact, Calliope s'essaya aux sports extrêmes. Au début, c'était pour découvrir de nouvelles choses, mais avec le temps, elle se mis réellement à apprécier ces nouvelles activités. L'escalade, le saut à l’élastique, le « rafting » figuraient au nombre de ses nouvelles passions... au grand dam de ses pauvres parents qui ne savaient plus où donner de la tête pour la convaincre d'arrêter de faire des bêtises. Callie carburait aux sensations fortes, aimant sentir l'adrénaline courir dans ses veines. Elle avait également un faible pour les mauvais garçons, ne les fréquentant pas que pour épouvanter ses parents! La jeune fille aimait aussi beaucoup les motos et les belles voitures que conduisaient ces charmants jeunes hommes – toujours plus vieux qu'elle, évidemment! – après les avoir bien retouchées pour les rendre plus... performantes!
Son goût du risque a cependant bien faillit lui être fatale. Pour son anniversaire, son père lui avait offert une petite voiture, petite voiture que Callie adorait. C'est en se rendant au centre commercial afin de terminer ses emplettes de Noël que Calliope eut un grave accident. Elle ne se rappelait pas trop ce qui avait pu lui passer par la tête. Elle avait doublé une voiture alors qu'un autre véhicule arrivait en sens inverse. Elle n'avait pas le temps d'effectuer la manœuvre, elle en était bien consciente, mais... elle avait quand même tenté le coup. Oh! Callie avait réussi à dépasser la voiture, l'autre conducteur avait ralentit, mais Calliope avait perdu la maîtrise de son propre véhicule. L'automobile s'était mise à tourner sur elle-même avant d'emboutir un poteau. L'impact fut si violent que la jeune fille fut éjectée de la voiture.
Des années plus tard, elle ne se rappelle toujours pas ce qui s'est produit. Ce qu'elle sait, c'est ce que son entourage lui a raconté.
Quand elle repris conscience ce matin-là, elle était allongée sur la chaussée, le souffle coupé. Pour la première fois de sa vie, elle eut peur. Peur de mourir alors qu'elle venait tout juste d'avoir dix-sept ans. Callie cru à ce moment-là que les dés étaient jetés, que sa vie était finie, qu'elle allait mourir là, glacée à cause de la chaussée froide et mouillée par la neige fondue. Elle était sur le point de fermer les yeux pour se laisser partir quand un homme arriva à ses côtés en courant. C'était le conducteur de la voiture qu'elle avait doublée comme une folle. C'était un médecin et il s'était arrêté pour lui porter secours. Parce qu'elle n'arrivait pas à respirer, il dû pratiquer sur la jeune fille une trachéotomie d’urgence. Callie sentait le froid du bitume dans son dos, elle était engourdie et s'était demandée stupidement si c'était ce qu'on ressentait quand la mort venait vous chercher. Elle avait peur de mourir, mais au moins, si elle devait y rester, elle ne serait pas seule. Enfin, ça c'était sans compter sur l'homme qui semblait bien décider à sauver sa peau. Il semblait calme et lui parlait constamment même si Callie ne comprenait pas tout ce qu'il racontait. Plus tard, elle compris que c'était pour qu'elle reste avec lui en attendant les secours. Tout s'était déroulé très vite, Callie en gardait un souvenir plutôt flou. Tout ce qu'elle savait, c'était qu'elle avait sentit une lame sur sa gorge et qu'on insérait un truc dans ledit trou... et l'air arriva enfin jusqu'à ses poumons qui brûlaient à cause du manque d'air.
C'était sans conteste grâce à cet homme que Calliope était toujours de ce monde et elle lui en serait éternellement reconnaissante. Grâce à son intervention rapide, la jeune fille survécut à cet horrible accident. Les mois de convalescence et le fait devoir réapprendre à marcher, ce n'était rien à côté du fait d'avoir flirté avec la mort. Encore aujourd’hui, on peut voir une petite cicatrice sur son cou, mais Callie s’en fiche. Sans cette cicatrice, elle ne serait plus là pour en parler.
Ce jour fût celui où elle décida qu’elle serait médecin. Si elle continua à aimer les sports qui faisaient courir l'adrénaline dans ses veines, elle laissa les courses de rues et autres tentatives de conduite dangereuse aux fous et aux pilotes professionnels. Elle avait eu sa leçon. De la pire manière qui soit, mais elle l'avait eue. Et comprise.
Après cet affreux accident, Calliope décida que les folies c'était terminé. Elle avait faillit mourir et elle avait appris sa leçon, alors elle se concentra sur ses études. Elle avait maintenant un but à atteindre, devenir médecin. Si elle voulait atteindre les objectifs qu'elle s'était fixée, Callie devrait étudier d'arrache-pied pour obtenir de bons résultats scolaires. Et comme c'est une personne obstinée, la demoiselle atteint sans grandes difficultés le but qu'elle s'était fixé. Si son acharnement pour les études avaient redoublé, son amour des petits truands, lui, ne s’était pas tarit. Loin s'en faut! Au contraire, ils l'attiraient comme un aimant. Elle ne faisait pas dans les cas sociaux et n'avait pas pour but de les changer radicalement, ce n'était pas son genre. Non, tout ce que Callie voulait, c'était de connaître le grand frisson que ces types lui apportait... car certains de ces hommes flirtaient allègrement avec la loi, veillant à ne pas l'enfreindre. C’est pendant sa deuxième année de médecine qu’elle rencontra celui qu’elle avait cru être l’homme de sa vie; Leandros. Tatoué de la tête aux pieds, habillé de cuir, conduisant une moto sport, il avait tout pour plaire à la jeune femme. Si Callie était enchantée, ses parents l'étaient un peu moins! Et quand elle leur annonça, six mois plus tard, qu'elle était enceinte, ça n'améliora vraiment pas les choses! Elle avait tout juste 19 ans à ce moment-là, toute la vie devant elle pour fonder une petite famille... avec un homme de sa trempe et non avec Leandros. Ses parents ne tentèrent jamais de la faire changer d'avis sur la question du bébé, mais ils lui firent comprendre qu'être mère à 20 ans et ce, tout en étant aux études ne serait pas aisé. Pendant que ses amis sortiraient et feraient la fête, elle, elle serait à la maison avec un poupon qui réclamerait toute son attention. Elle leur assura que même si le bébé était une « surprise », elle n'en assumerait pas moins ses responsabilités et que Leandros avait promis de rester à ses côtés pour élever leur bébé.
Si l'annonce de la grossesse de leur fille avait de quoi les chambouler, l'annonce de leur mariage éminent leur fit lever les yeux au ciel. Calliope allait-elle un jour finir par les épargner? Les Di Marco n'appréciaient pas spécialement Leandros – qui le leur rendait bien – et ne s'en cachaient pas. A leurs yeux, leur fille chérie méritait bien mieux qu'un jeune motard qui se rebellait dès qu'il le pouvait. Le bébé à naître également. Mais encore une fois, ils n'eurent pas le choix de laisser faire Callie et d'accepter ses décisions... en se jurant de tout faire pour que leur fille et son bébé ne manquent jamais de rien. Quant à lui, Leandros espérait que ses futurs beaux-parents arrivent à avoir de meilleurs sentiments à son égard. Il n'était pas le petit arriviste attiré par la famille aisée de Callie. Non, il l'aimait vraiment, ça n'avait rien à voir avec l'argent. Il ne comptait vraiment pas là-dessus, car sa propre famille nageait dans le fric. Son arrière-grand-père était un armateur grec et il avait créé sa propre entreprise, entreprise que ses descendants avaient fait fructifier. Il y avait désormais des branches de ladite entreprise dans plusieurs pays. De son côté, Leandros avait étudié en administration en plus d'avoir travaillé des étés durant dans la compagnie familiale, car il savait qu'un jour, il serait destiné à en reprendre les rênes. Désireux d'essayer de se rapprocher de sa belle-famille, Leo avait tenté de travailler durant un certain temps pour son beau-père, mais ça n'avait pas fonctionné. Les tensions entre les deux hommes n'avaient rien arrangé.
Durant ce temps, Callie avait continué ses études pour être finalement interne. Tout ça, en s'occupant de sa fille, Ophélia, et en veillant à ce que son mariage tienne le coup. Parce qu'elle était consciente que son couple traversait des difficultés, le temps leur manquait, Leo lui reprochait souvent de faire passer leur fille et son travail avant leur couple. Mais Leandros aussi travaillait comme un dingue, elle n'était donc pas la seule à blâmer. Si Callie avait eu un reproche à lui faire, c'était celui de ne pas passer assez de temps avec Ophélia. Même lorsqu'il était en congé, il préférait laisser la petite à la garderie ou avec ses grands-parents plutôt que de passer du temps avec elle. Et au final, c'était leur fille qui en souffrait le plus. Le tout avait fini par dégénérer, ils se disputaient de plus en plus pour des bêtises, tout devenait un prétexte pour se prendre la tête... Si Calliope avait cru que ce n'était qu'un mauvais moment à passer et qu'ils en ressortiraient plus fort, le jour où elle rentra à la maison et découvrit une enveloppe et une lettre sur la table, elle su qu'elle s'était trompée. C'était sa dernière année en tant que résidente, bientôt, elle serait titulaire. Le Saint Graal pour les médecins, quoi. Elle avait choisit de se spécialiser en neurochirurgie, pouvant bénéficier de la présence et de l'enseignement d'un vieux médecin réputé qui comptait bien prendre sa retraite une fois que sa protégée serait prête à reprendre les rênes. Bref, ce jour-là Callie était allée chercher sa petite puce à la garderie et elles étaient rentrées à la maison. La petite avait hâte de montrer son beau dessin à son père, quelle n'avait pas été sa déception en voyant que son papa n'était pas rentré du travail. Callie en voyant l'enveloppe posée sur la table de la salle à manger avait eu un pressentiment et avait poussé Ophélia à aller jouer dans sa salle de jeux. C'était le cœur lourd qu'elle avait ouvert l'enveloppe et découvert les papiers pour la demande de divorce. Dans sa courte lettre, Leandros disait être reparti en Grèce pour prendre la direction d'une des branches de l'entreprise familiale.
Bon gré, mal gré, Callie avait fait face. Elle avait dû expliquer à une fillette d'à peine cinq ans que son père était parti, mais que ça ne voulait pas dire qu'il ne l'aimait plus ou qu'elle avait fait quelque chose de mal. Parce que bizarrement, quand un enfant se sentait abandonné, il pensait toujours que c'était sa faute. Et Ophélia n'y échappait pas. Si Callie avait une raison d'en vouloir à son ex, c'était bien celle-là. S'il voulait la quitter, d'accord, ,mais il aurait dû s'arranger pour que leur fille n'en souffre pas. Voilà ce que Calliope ne lui pardonnerait jamais. Elle pourrait lui pardonner tout, mais dès lors que leur Ophélia souffrait à cause du manque de considération de Leo, elle n'était plus prête à pardonner. En fait, ça elle ne le lui pardonnerait jamais. Jamais.
Il lui laissait la maison, la garde complète de la petite, tout. La seule chose qu'il demandait, c'était d'avoir Ophélia avec lui durant les fêtes de Noël et la moitié de l'été. C'était là sa seule exigence. En contre-partie, il s'engageait à payer les frais scolaire de leur fille, l'Université si jamais elle voulait faire des études supérieures, sans compter qu'il lui verserait une pension alimentaire plus que confortable. Même si elle lui faisait confiance sur ce point, Callie ne pu s'empêcher de confier ce document à un avocat. Il était parti comme un voleur, avait bien préparé son coup, alors elle redoutait un coup fourré. C'était facile de faire croire à quelqu'un qu'on avait les meilleures intentions du monde pour ensuite lui planter un couteau dans le dos. Et là, ça concernait sa fille et quand il était question d'elle, Calliope devenait une vraie lionne. Si jamais Leandros avait le malheur d'essayer de la manipuler pour avoir Ophélia, il trouverait Callie sur son chemin. Mais heureusement pour lui, il n'en avait rien fait, l'avocat le lui avait confirmé. Le document relatait exactement ce qu'il avait décrit dans sa lettre.
Pour le reste, Calliope était déçue. Déçue de son comportement, déçue de voir qu'il avait préféré prendre la fuite plutôt que de l'affronter et lui annoncer qu'il la quittait en face. Déçue de voir que sa fille ne pouvait même pas rivaliser avec son envie de rentrer chez lui. Il mettrait des milliers de kilomètres entre lui et sa propre fille et ce, sans remords, sans regrets? C'était une chose que Callie n'arrivait pas à comprendre, ça la dépassait. Bref, dans tout ça, ce qui la peinait le plus, c'était le mal que ça faisait à Ophélia. Parce qu'elle était aux premières loges. Voir sa fille s'ennuyer de son père et le réclamer était une torture. Les coups de fil n'étaient pas pour aider cette enfant et quand elle finissait par enfin voir son père, c'était toujours pour devoir le quitter peu après. Elle était donc toujours à ramasser à la petite cuillère.
Calliope se promit d’être toujours là pour sa fille, d’en prendre soin et de ne pas laisser sa carrière trop empiéter sur sa vie familiale. La promesse ne fut pas facile à tenir, car son métier était très accaparant. Mais Callie avait à cœur d'assister aux spectacles de fin d'année de l'école, aux rencontres de parents... Et même si ce n'était pas toujours facile de concilier le tout, elle faisait toujours son possible. Les rares fois où elle n'avait pas pu être présente, Calliope s'était assurée que ses parents seraient présents, histoire que sa petite Ophélia ne soit pas la seule enfant que personne n'avait pris la peine d'aller voir à l'école. Et malgré tout, Callie avait réussi à bien élever sa fille et elle avait fait de son mieux. Si elle pouvait être fière d'une seule chose dans sa vie, c'était bien de la personne qu'était devenue Ophélia. Concernant les hommes, elle a mit du temps à leur faire confiance à nouveau, n'étant par ailleurs pas prête à faire entrer n'importe qui dans la vie de sa fille. Callie a longtemps été célibataire et ce, par choix. Mais quand sa vie avait été plus veille, Callie avait recommencé à fréquenter certains hommes. Si elle avait eu quelques petites aventures passagères, ça n'avait jamais été sérieux au point de les présenter à sa fille. Jusqu'au jour où elle avait rencontré Patrick. Leur histoire était sérieuse, ils ont été ensembles durant deux ans, mais un jour, Callie s'était rendue compte qu'il lui manquait quelque chose, que leur histoire ne prenait pas le tour qu'elle aurait souhaitée. Patrick ne voulait pas s'engager ou vivre avec elle, Callie ne voulait pas se contenter de si peu... alors elle avait pris la décision qui s'imposait : elle l'avait quitté. Ils s'étaient laissés en bons termes, mais n'entretenaient plus aucun lien.
Voilà comment sa vie s'était déroulée depuis son divorce. Elle n'attendait plus vraiment que l'amour frappe à sa porte, mais c'est quand on l'attend le moins qu'il nous prend par surprise. Quelques mois plus tôt, Calliope avait fait une rencontre. Une rencontre importante dans sa vie. L’hôpital lui avait demandé de présider un souper bénéfice pour la neurochirurgie. Une soirée pour amasser des fonds pour qu’ils puissent se procurer un appareil de pointe, histoire de faciliter les chirurgies. Un appareil dont Callie rêvait depuis des mois en sachant fort bien que l'hôpital ne pourrait pas se le permettre!
Elle était donc passée au Restaurant d’Anthonio Di Valastro, le Parrain de la mafia. Elle avait passé la soirée à discuter avec cet homme mystérieux qu’était ce criminel notoire. Elle l’avait trouvé intéressant comme homme, de plus, il faisait en sorte de ramasser de l’argent pour son département à l’hôpital. Comment ne pas l'apprécier? Elle ne s’en était rendue compte que bien plus tard, mais Callie avait passé la majeure partie de la soirée en sa compagnie... et elle ne s'était pas ennuyée une seule minute. Il était doté d'un sens de l'humour particulier, mais elle y avait été sensible. A son contact, elle s'était bien amusée, s'était surprise à rire des blagues du Parrain.
Anthonio et elle s’étaient revus par la suite, s’étaient fréquentés pendant quelques semaines avant de comprendre qu’ils étaient complémentaires et ne deviennent officiellement un couple. Ils étaient maintenant ensembles depuis quatre mois. Elle a attendu presque deux mois avant de présenter son nouvel amour à sa fille. La jeune femme a beau être une adulte maintenant, Callie ne veut pas la brusquer. La jeune femme a déjà assez souffert. Sa fille a plutôt bien pris la situation, elle veut le bonheur de sa mère, mais elle s’inquiète cependant de la réputation d’Anthonio. Calliope la rassure, lui disant qu’elle ne sort pas avec le Parrain, mais avec l’homme derrière le Parrain. C’est plus difficile à prendre pour son gendre, William. Ce dernier étant policier, il ne comprend pas le penchant de sa belle-mère pour les criminels. Mais il finira bien par se faire à l’idée, en tout cas, Callie y compte bien.
Derrière l'écran, il y a...
Pseudo: CricriPrénom: Jane Age: 24 ans Fréquence de connexion: 2-3 jours semaines Code du Règlement:
Dernière édition par Calliope M. Di Marco le Sam 12 Oct - 22:33, édité 2 fois
■ En ville depuis le : 12/10/2012 ■ Messages : 868 ■ Pseudo : Miliane
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(#) Sujet: Re: Life is what happens to you while you're busy making other plans. Lun 7 Oct - 23:45
Bienvenue miss Callie!
Très bon choix d'avatar! Tu as une semaine pour faire ta présentation, si tu as des questions ou si tu veux de plus de temps, n'hésites surtout pas à communiquer avec nous
Et surtout, surtout! Amuse-toi bien!
■ En ville depuis le : 11/10/2012 ■ Messages : 2461 ■ Pseudo : Athéna
■ J'ai : 32 ans ■ Je suis : une jeune mariée! ■ Je suis : Capitaine, chef de la police ■ Mon adresse : Sud au #36
(#) Sujet: Re: Life is what happens to you while you're busy making other plans. Mar 8 Oct - 8:20
Bienvenue Callie! Amuse-toi bien
■ En ville depuis le : 24/03/2013 ■ Messages : 174 ■ Pseudo : Slash
■ J'ai : 37 ans ■ Je suis : En couple avec Evangelyne J. McCarthy ■ Je suis : Propriétaire du Fairy Night Club ■ Mon adresse : Sud #35 (pour le moment)
(#) Sujet: Re: Life is what happens to you while you're busy making other plans. Sam 12 Oct - 22:40
Wow! Quelle histoire J'ai suivit l'évolution pas à pas me délectant de ton avancement chaque fois que tu éditais. Notre parrain en a de la chance
Félicitation et bienvenue parmi nous!
Félicitation!
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